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Traquenard
par Anonymous le, 18/10/2012

C'est quand j'étudiant que j'ai commencé à goûter aux plaisirs de ligoter un beau mec ou de me faire ligoter par lui.

Un de mes meilleurs amis était Serge, âgé d'un an de plus que moi. On se retrouvait souvent le soir, dans mon studio ou dans le sien, à la sortie des cours ou du restaurant universitaire. Un soir, tandis qu'on sirotait une bière dans le parc tout en fumant des cigarettes, la conversation s’orienta sur le thème de la domination et de la soumission, ce qui fit naître en moi l’idée de le déshabiller et de le ligoter.

Le lendemain, je me rendis à la quincaillerie, où je choisis un paquet de cordes en nylon blanc, souples mais solides. J'en coupai plusieurs bouts suffisamment longs pour lui lier solidement les poignets et les chevilles. Puis, à partir d'un vieux tee-shirt, je confectionnai un bandeau noir et un bâillon. Il ne me restait plus qu'à concevoir les circonstances propices à la réalisation de mon plan.

La veille du jour J, je proposai à Serge de commander des pizzas et de venir les partager chez moi le lendemain soir après les cours.

Le lendemain soir, il arriva chez moi vers 20 heures et je fis rapidement dévier la conversation sur le thème des jeux et épreuves d'endurance. Je lui demandai s’il était prêt à relever le défi de se prêter dès ce soir à une épreuve d'endurance qui serait en même temps un jeu de rôles. Souriant, il me répondit: «Ouais, ça pourrait être cool», puis il voulut savoir de quel jeu de rôles il s'agissait. Je lui expliquai que, durant toute la nuit, il serait mon «prisonnier» et moi son «gardien», et que mon appartement serait le lieu de sa «détention». Je lui dis qu'il devrait se comporter comme s'il était réellement mon prisonnier et qu’il devrait donc faire docilement tout ce que je lui dirais.

A la fois amusé et intrigué, Serge alluma une autre cigarette et me demanda des précisions. Je lui répondis que, pour qu'il puisse pleinement goûter au jeu, il devrait se plier à mes demandes sans rien savoir à l'avance. Je lui proposai enfin de commencer le jeu de rôles dès qu'il aurait fini sa cigarette. Serge me dit alors, le regard rieur: «C'est cool». Il prit quelques bouffées de sa cigarette, qu'il écrasa sans la terminer. Puis il me dit: «OK, je suis prêt.»

Je lui dis alors qu’il était maintenant en état d'arrestation et je lui demandai ses papiers et ses clefs. Il me les tendit d’un air amusé. Je sortis alors le bandeau et le bâillon que j’avais préparés. Il eut l’air un peu surpris, mais je ne lui laissai pas le temps de réagir. Je lui posai le bandeau sur les yeux et le bâillon sur la bouche. Puis je lui expliquai qu'il devait maintenant se soumettre à l'étape de la fouille et enlever tous ses vêtements à l’exception de son caleçon.

Serge fit pouffer un léger rire sous son bâillon mais s’exécuta sans broncher. Il retira d'abord sa veste de cuir, qu'il laissa tomber à ses pieds. Puis il enleva son tee-shirt: le voici torse nu. Puis il se pencha afin d'enlever ses espadrilles et ses chaussettes. Il se redressa et dénoua sa ceinture, pour ensuite baisser la fermeture-éclair de son pantalon. Puis, d'un geste rapide, il baissa son pantalon et en dégagea ses jambes une à une.

Serge était maintenant vêtu seulement de son caleçon. Je lui ordonnai de placer ses mains derrière sa nuque. Puis, afin de lui faire mesurer la réalité de sa situation de «prisonnier» qui doit se soumettre, je lui fis écarter les jambes.

Je laissai passer quelques minutes avant de sortir les bouts de corde que j’avais préparés. J'annonçai à Serge que j’allais lui attacher les mains derrière le dos. Serge réagit en murmurant : «OK» sous son bâillon. De lui-même, il baissa les bras et me tendit ses mains par derrière. Je saisis ses poignets et je les plaçai l'un sur l'autre au bas de son dos, juste au niveau de son caleçon. Serge coopéra en prenant soin de garder ses poignets dans cette position tandis que j'enroulai la corde autour d'eux, tout en la resserrant graduellement. Puis, d'un geste sec, je fis le nœud final.

Les mains de Serge étaient maintenant solidement attachées derrière son dos. Je lui annonçai que j’allais maintenant l'emmener dans sa «cellule», et qu'il y passerait toute la nuit ligoté sur le lit.

Je me plaçai alors derrière lui et le saisis par les épaules afin de le guider vers la chambre, car il avait toujours les yeux bandés. Arrivés sur place, je fis glisser le caleçon jusqu’à ses pieds, ce qui le fit sursauter, puis je l’aidai à s’allonger sur le dos, nu comme un ver, je lui fis écarter les jambes et je l’attachai par les chevilles aux pieds du lit…


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