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Document sans titre
Une colonie de naturistes (PARTIE 1)
par Anonymous le, 21/07/2019

Cette histoire proviens du forum blabla 14-18 ans.
http://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-132638907-1-0-1-0-fiction-deux-semaines-chez-les-nudiste.htm


(C'est une fiction écrite par un adolescent de 15 ans)

Bonne lecture


CHAPITRE 1

Boom en pleine tête.

J'adore Team Fortress 2. Ce jeu permet de me défouler, de tirer sur tout ce qui bouge. J'adore. Et j'ai à présent deux mois de vacances pour pouvoir me défouler. C'est génial .

Je vais pouvoir no-lifer deux mois entier.

- Frankinou !! Viens manger !
- J'ariiIIiiive, fis-je de ma voix pourrie d'adolescent en métamorphose.

Je me déconnecte, et met mon PC en veille. Je descends rapidement vers la cuisine. Mes parents et ma sœur sont déjà à table. Rapide aperçu : ma mère ne travaille pas, ou plutôt elle travaille "à la maison" comme elle dit. Mais elle est plus souvent à la piscine ou au terrain de badminton que chez elle. Mon père est fonctionnaire, rien de plus normal. Il aime partir en camping. Je vous dis pas. Ma soeur...ma soeur. Elle écoute de la techno 24 h sur 24et chantonne c'est beau la bourgeoisie quand elle ne te sort pas une réplique à deux balles de Bienvenue chez les ch'tis. Moi ? Moi je suis beau gosse, j'aime le Pc (un peu, beaucoup, passionément, à la folie), le rock (et le punk) et les filles (sauf ma soeur)...Je n'ai pas de petite amie mais ça va venir.

- On t'attendais, déclara ma soeur la bouche barbouillée de bolognaise.
Ma mère aspira un spaghetti et fit signe à mon père de ma parler.

- Franck, ta mère et moi avons décidé de...partir en vacances en Espagne !!
- Moi du moment que je reste sur TF2
- Non, je parle d'aller en Espagne tous les quatre!
- Argh !! Mais je m'en fous moi, je veux rester ici, je veux rester ici . M'en fous que vous y alliez, moi je reste ici na!
- ET BEN TANT PIS ! SI TU VEUX PAS VENIR, TON PERE VA TE TROUVER UNE COLO SUR INTERNET ET TU Y IRAS SEUL ! hurla ma mère.

(Papa ? Il sait même pas faire une recherche Google )

Un silence de mort règne sur la cuisine...

C'est une blague nan ?


CHAPITRE 2

Enfermé dans ma chambre, je soupire. Pfff, en colo ou en famille, je partirai. Vacances de merde...

Je vais sur le 15-18, mais même là-bas je m'ennuie. Je finis par lancer TF2. Mon père entre dans ma chambre brusquement.

- Tu sais pas frapper avant d'entrer ? je lui crie.
- Désolé. Ta mère et moi avons réfléchi. Nous allons t'envoyer dans une colo durant les mêmes deux semaines que nous allons passer en Espagne, ta mère, ta soeur et moi. Ainsi, tu te feras des amis et tu pourras lâcher ton PC.
- Pff, tu me diras quand t'en auras trouvé une...
- Pas de soucis Franck, j'ai déjà fait les réservations.

Argh ! Père a suivi un tutoriel en 25 leçons ou quoi ?

- Internet est tellement incroyable dit-il les yeux rêveurs, un regard bienheureux dessiné sur son visage.
- Pff C'est quand ?
- Lundi prochain, mon lapinou.
- Arrête de m'appelle comme ça merde...

Arghhhhhhhh ! Lundi c'est dans deux jours . J'y crois pas

- Mais...

- Allez je te laisse lapin, à demain, fais un gros dodo.

C'est ça casse toi...Je donne un coup de pied à mon pc, sans faire exprès je l'éteind. Et merde. J'essaye même pas de le rallumer, je me couche sur mon lit et je laisse tout tomber.

Le lendemain je me réveille. J 'ai pris une grave décision. Celle de profiter au MAXIMUM de mes dernières 24 heures. Je prends un croissant, un tasse de lait et je les monte dans ma chambre. Dernier jour à no-lifer...dernier jour à headshoter...dernier jour à chatter...dernier jour à talquer (et ouais, i'm ze best of the TALC)...Dernier jour.

Ce jour-là je m'endors avec une grosse boule dans le ventre. J'ai fait ma valise, que j'ai bourrée de vêtements. A ce qu'il paraît c'est en Italie, une colo spécialement pour les francophones, près de la mer avec "plein d'activités hyper amusantes" .

Ca va être gaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....



CHAPITRE 3

Il est 8h30. J'ai dans une main ma valise dans l'autre un petit sac à dos dans lequel je transporte les pastilles contre l'envie de vomir (et oui comme souvent dans les cars ), ma DS (et ouais je suis pas fou, je veux continuer à nolifer), quelques livres, des bonbons...Tout le matériel indispensable pour survivre.

Le car passe à 8h45. Mes parents m'embrassent partout. Oula, on se calme hein, je pars pas à la guerre. Eux, ils prennent leur avion tranquillement vers 16h, moi non. Matinalement et en bus. On sera en Italie dans deux jours, vu tous les arrêts qu'on doit faire.

Je monte dans le bus. Toutes les places sont vides. Je suis seul .

En fait non, je n'ai pas remarqué la demi-portion caché au fond du bus, un PSP entre les mains.

(Un autre no-life comme moi ? )
Je m'approche. Il a environ 8 ans. Je lui dit salut il me répond :

- Désolé je peux parler aux inconnus.

Tu vas apprendre à me connaître coco. Je m'assois un peu plus à l'avant, je prends ma pastille et ma dS. Hop un bon Trauma Center, ça te rend un peu nerveux quand ta la tête dans le cul. La batterie est rouge. Et merde...bon j'ai pris le chargeur mais pas de prise dans le bus évidemment.

Deux heures plus tard, on a le premier arrêt. Ya plein de gens qui entrent. Fin...plein . Y'en a 3. Une fille, deux mecs. Un d'eux s'approche et s'assoit à côté de moi.

- Qui t'a dit que tu pouvais ? je lui fait.
- Bah la place est pas réservée.

Argh. Owned by cet inconnu.

- T'es qui ?
- Moi c'est Philippe.
- :lol: ok.
- Quoi qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien j'adore ce prénom...Fake
- Et toi ?
- Franck.
- Comme mon chien.
- ...
- ...
- Cool pour ta bête...

Silence...Le voyage s'annonce long

Plus d'évènements dans la suite...


CHAPITRE 4

Philippe continue à loucher sur l'écran de ma console.
- C'est quoi ?
- Un jeu.
- Ah.

:lol: le con.

- Faut faire quoi ?
- Tu vois pas ?
- Ben non...
- Bah t'es un chirurgien.
- Ah comme les docteurs.
- Nan comme les chirurgiens.
- Ah.

Il le fait exprès c'est pas possible autrement.

- T'as pas d'autres jeux ?
- Oui.
- Tu peux changer, j'aime pas çui-là.
- Rien à :censure:.
- Ah ok.

Il part il change de place. Ah, enfin tranquille.

Le trajet continue lentement. En fin de journée on est une quinzaine dans le bus. J'ai un nouveau voisin, du genre discret et qui dérange pas. Tant mieux. Mon mp3 au oreilles je dérange personne non plus. Il est déjà 11h. La journée m'a crevée à rien faire. Alors je ferme les yeux. Je pense à autre chose. Je suis réveillé le lendemain par mon voisin.

- Hé, toi ! Il est déjà 10 h.
- Déjà ?
- Bah ouais.
- Ok merci.

Je le regarde. Il a pas l'air méchant.

- Tu t'appelles comment ?
- Bill.
- Gates
- Pardon ?
- Nan rien . Moi c'est Franck.

La conversation continue. On a pas mal de gouts en commun. Il est sympa. Il aime le rock aussi, et sa famille est un peu space aussi. Bref, que du bonheur et je me rends pas compte qu'on arrive devant la colo 'Funny gogo'. Glups le nom. Où mon père a-t-il bien pu trouver ça ? On sort enfin du véhicule. Il est 21h. Une trentaine de personnes sortent du bus. Je sors avec Bill. L'endroit est vaste. Un homme nous attend. Il est nu...

CHAPITRE 5

Qu'est-ce que je faisais ici ? Pourquoi il était nu ?
Il n'était pourtant pas gêné... Qu'est-ce qu'il se passait ?

Cela n'avait l'air de déranger personne à part moi. Plusieurs réponses me passèrent par l'esprit...
Il revient des chiottes ? Il est gay ? Il a baisé une monitrice ?

- Salut à tous, je m'appelle Marc. Je suis le chef mono.

Mais tain, qu'est-ce qu'il fout à poil. Mon regard posé sur son visage, descendait petit à petit. Par pur curiosité. Fin je sais pas, c'était nerveux...

- Je vais vous instruire aujourd'hui. En effet, les règles du camp sont strictes. La plus importante est l'obligation absolue d'être nu. C'est normal dans un camp nudiste

Aaaaaaaaaaaaaargh !!! UN CAMP NUDISTE . Qu'est-ce qu'il avait foutu mon père ? C'est pas possible ! Qu'est-ce que je fous ici ?

- Vous aurez une activité obligatoire par jour. Le matin. L'après-midi c'est tranquille. Vous avez la mer ici pas loin. Comme vous le constatez, c'est un vrai village. Vous avez tout : magasins, restaurant...c'est parfait en fait

Mais non c'est pas parfait !! C'est horrible ! En observant je remarquai quelque chose d'étonnant. J'avais la valise la plus grosse. Normal, les autres avaient pas pris de vêtements .

- Ces cabanes sont vos maisons. Vous serez deux par maisonnette. Alors trouvez-vous un compagnon pour partager le logement et tous à poil !

Comment il pouvait sourire lui ? Franchement, ma boule dans le ventre était un vrai ballon de basket. Je tremblais, je voulais m'enfuir dans la terre. Moi nu ?

CHAPITRE 6

Comment il pouvait sourire lui ? Franchement, ma boule dans le ventre était un vrai ballon de basket. Je tremblais, je voulais m'enfuir dans la terre. Moi nu ?

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- On fait maison à deux ?

Je me retourne c'est Bill. Etant donné que je connais personne d'autre je lui répond que oui.

- J'ai hâte d'être nu. déclare-t-il.

Ca m'attriste encore plus. Je suis donc le seul. On arrive devant la cabane. Toutes portent un nom. La nôtre s'appelle banane :hum: . On rentre : c'est très limité. Deux lits, un bureau. Même pas d'armoires...bah oui : pas de vêtements ! :-(

Mon pote sort ses affaires de son sac. Un gsm, un lecteur mp3 et quelques bouquins. On se rend compte de la place que prennent les vêtements. Moi armé de ma valise de guerre j'ai l'air bien con.

- Oula ! T'as plein de trucs !
- Non c'est des vêtements.

Il me regarde bizarrement.

- Des vêtements ? On est dans un camp nudiste.
- Bah oui c'est ça le problème.

Il me regarde fixement.

- T'étais pas au courant ?
- Bah non.

Il se met à rire comme un fou tandis qu'il descend son froc. Je ne m'attendais pas à être face un mec en boxer... :noel: . Je sors un pantalon et un t-shirt.

- Qu'est-ce que tu fais, me demande-t-il.
- Tu crois vraiment que je vais me balader les fesses à l'air ?
- Bah c'est obligatoire.
- Mon cul. Je vais envoyer un sms à mes parents et ils vont venir me chercher.

J'allume mon gsm. J'écris mon message. Merde...
...
...
Plus de solde !!

Je cris mon désespoir tandis que mon pote retire son t-shirt ce qui le rend nu comme un ver.

- Aaaaah qu'est-ce qu'on est bien.

Je lance un petit regard de travers. Ce regard m'a permis de défier ma peur. En effet, son engin était bien plus petit que le mien et pourtant...il n'avait aucun stress. Si ça ne le faisait pas peur...pourquoi est-ce qu'on se moquerait de moi ?


CHAPITRE 7

En effet, son engin était bien plus petit que le mien et pourtant...il n'avait aucun stress. Si ça ne le faisait pas peur...pourquoi est-ce qu'on se moquerait de moi ?

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Bill fait comme si il ne me voyait pas le mater. Bah oui ça fait bizarre d'avoir quelqu'un nu devant moi. La porte s'ouvre. Je reconnais Marc.

- Salut les gars. Dis donc faut se dépêcher coco, on va manger. Comment vous vous appelez ? :o))
- Bill
- Franck
- Super, c'est retenu ! Venez vite au restaurant, il se fait tard, un bon repas vous attend.

Il nous quitte. Petit à petit, je retire mes vêtements. Ca fait bizarre. Arrivé au caleçon, je bloque. Je ne sais pas...C'est trop étrange. Je regarde par la petite fenêtre. Tout le monde est tout nu. Alors c'est décidé : je baisse lentement mon caleçon. Je finis à poil devant Bill.

- Et ben tu vois tu y es arrivé ! Me dit-il joyeusement.

Il mate ma bite...je suppose que c'est normal ici. On sort de la maison et nous dirigeons vers le restaurant. Sous la chaleur estivale, on est bien...à poil ! Les gens qui passent à côté, nus me paraissent tellement étranges. Il faudra m'y habituer. Et c'est pas gagné. Avec Bill on discute de tout. Surtout de musique. A un moment je jette un regard en arrière : :coeur: y'a un groupe de 3 filles qui file en direction du resto. 3 FILLES NUES. L'une d'elle est vraiment pas moche et possède même une poitrine plutôt généreuse. Les deux autres sont moches à crever, mais bon, les voir nues est tout de même excitant. Mais la réaction de cette vue ne se fait pas attendre. Le petit soldat se met au garde à vous. Je m'en rends vite compte et pour y remédier, me tourne vers l'autre côté, du côté de Bill.

- Oui ?
- Heu non rien.
- Pourquoi tu te mets de mon côté ?
- Bah...pour rien.
- Ah ok :-d

Baissant les yeux, il tombe sur mon palmier.

- Ah ok :-d J'ai compris.
- Compris quoi ?
- C'est les filles là-bas ?
- Quelles filles ? (Pfff je suis vraiment pas crédible)
- Admire le truc de l'habitué.

Il vise quelque chose au loin. En fixant un peu plus je me rends compte que c'est la femme de ménage. Une quarantaine, les seins qui pendouillent. Berk :ouch:

Lentement, il redescend.

- Voilà tu vois :-d

On arrive devant la porte du restaurant...


Chapitre 8

On arrive devant la porte du restaurant...

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J'ouvre la porte. Tout le monde est déjà là presque. Ca fait bizarre de se présenter les :censure: à l'air. Certaines personnes me regardent, d'autres continuent de manger et de parler. J'allais fermer la porte quand j'entends une voix.

"- Attends ferme pas je suis là"

Je me retourne pour voir la fille d'avant (la belle :-d )) ) s'empresser de rejoindre le restaurant en courant. Ca faisait remuer tout son corps et j'avoue que sur le coup, je cherchais la femme de ménage du regard. Merde elle était passée où ? Par chance, je réussis à me contrôler.

"- Merci.
- De rien :diable: "

Pff j'ai échappé belle. Je m'installe à côté de Bill. Le contact du corps nu sur la chaise froide est assez déstabilisant. Mais au final, c'est presque agréable. On mange bien, un bon spaghetti bolo, ça fait du bien j'avais bien faim. Pas d'évènements majeurs si ce n'est la sauce chaude qu'est tombé sur mes jambes :hum: . Heureusement qu'elle m'a pas vue la fille. Je la mate souvent ; elle parle avec ses copines, assise à une table plus loin. Lorsque tout le monde a fini de manger, le moniteur prend la parole :
" - Très bien. J'espère que vous avez bien mangé, vous allez prendre votre douche maintenant. Ce sont des douches publiques : il y en a 10 dans le local. Vous y trouverez également 10 toilettes pour vos petits besoin :-d )) ( :hum: )
Allez les bonhommes, bonne douche !"

Tout le monde se casse comme des grosses brutes : je les vois se toucher, se coller leurs corps nus. Berk.
Je m'avance lentement mais un vieux fou derrière me bouscule. Je tombe en avant et m'écrase contre le dos de la fille. Je la touche fortement elle sent la pression de mon pénis sur sa fesse gauche. Je bredouille un :
'Scuse moi :diable: on m'a poussé :diable: '

Elle me regarde et sourit.

- Pas de problème :-d
- Ah ça va alors...
- Tu t'appelles comment ?
- Moi ? Franck et toi ?
- Je m'appelle Julie.

(Respire et tente de ne pas mater ses seins !)

- Ah ben...c'est bien.

Bill me rejoint.

- Ah t'es là ? Ca va ? Ah salut... :diable:
- C'est Julie. Julie-Bill, Bill-Julie. dis-je, tout fier de moi :-d
- Salut
- Salut
- Vous prenez votre douche maintenant ? demandai-je.
- Bah yora trop de monde. répond Bill.
- Bah si vous voulez on a qu'à attendre dans ma maison...
- Heu...ok...
- Pas...de problème...


CHAPITRE 9

- Bah si vous voulez on a qu'à attendre dans ma maison...
- Heu...ok...
- Pas...de problème...

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On s'installe chez elle. C'est exactement la même maisonnette que chez nous. Elle s'assied et je peux l'analyser :-d
Cheveux bruns, longs jusqu'aux épaules, plutôt svelte, poitrine bien placée, juste ce qu'il faut, taille moyenne, des petits yeux bleus, une fine petite bouche très accueillante et très gourmande :-d )) (Ceci est une référence, que peut-être certaines personnes connaissent...).

On parle de tout, musique, ciné, école bref c'est plutôt varié. Instinctivement, j'ai tendance à masquer mon pénis. Ses jambes refermées je ne vois pas son minou, mais ses seins sont totalement à découvert, eux. :bave:

"-Et sinon, vous faites souvent les colos nudistes ?
- Ouais chaque année, répond Bill. J'ai commencé à 9 ans, parce que mes parents se sont gourés. Moi j'ai aimé et je les fais toutes. Si mes vieux le savaient...
- Quoi t'es parents sont pas au courant que tu fais des colos nudistes ?
- Bah nan :-d . Je leur fais croire que c'est normal."

Julie se met à rire. Bill m'a volé la vedette. Merde, il veut pas se la faire j'espère :-(

- Moi c'est tout nouveau, je dis.
- Ah bon ? C'est ta première fois ?
- Ouais...je découvre les joies de la apoilitude :-d

Elle sourit.

- C'est pas mal, on se sent plus libre.
- Oui...Ca me dérange de devoir m'habiller, ça m'ennuie.

(Chaud, elle y va pas de main morte.)

Après cette déclaration se forme un gros blanc.
- Bon bah les douches sont surement vides maintenant.
- Allons-y

On s'y rend à 3. Je prends mon essuie, que je dépose devant mon sexe, pour éviter qu'elle voit que je bande comme un cheval. Les douches sont libres maintenant. On en prend chacun une. L'eau est bien chaude. Elle coule sur mon corps, ça fait vraiment du bien. Je pense à Julie et je ne résiste pas. Je m'accroche à la paroi et petit à petit, me soulève lentement du sol. A côté se lave Julie. Comme elle est belle vue d'en haut. L'eau coule sur toutes ses rondeurs. Mon érection s'agrandit. Je redescends à terre et rapproche ma main de ma queue. Petit à petit je me masturbe. Lorsque je sens que ça va sortir, la porte s'ouvre. C'est Bill.

" - T'as toujours pas...fini ?
Gloups


CHAPITRE 10

" - T'as toujours pas...fini ?
Gloups

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Je m'empressai de masquer l'engin. Il me regarda fixement et puis ferma la porte en me disant :
" - Julie et moi on sort déjà. Dépêche toi !"

Je les entendis sortir. Merde les deux seuls :nah:

Je sortis vite de la cellule et me séchai le plus rapidement possible. Je sortis vite de l'hangar à chiottes et courus jusque notre maison (quand tu cours à poil, c'est vachement désagréable)...Personne !
Je vais vite à la maison Julie. Je la repère de loin, c'est la maison pamplemousse. J'ouvre la porte.
Argh ! Ils sont tous les deux nus...Sur le coup, je ne pense plus que je suis chez les nudistes et je leur sors un :
- Et mais qu'est-ce que vous faites ?
- Bah on parle :hum:
Cling ! Le déclic se fait. L'inconvénient c'est qu'ils peuvent masquer. Peut-être qu'ils ont...

Je n'ose même pas m'imaginer mais je semble le plus normal plssible.
- Ah bah super. Il ne restait plus que moi alors... :-d
- Bah ouais...

On dirait que je les ai dérangés. Merde !
Comme à mon habitude, le petit soldat se relève...Qu'est-ce que c'est chiant. J'espère qu'il finira par s'y habituer parce que bon là...C'est chiant :-d

On parle de rien, je m'emmerde presque. Je masque mon érection avec mes mains. Ca fait bizarre quelqu'un avec ses mains sur ses :censure: non ?

Un moniteur entre.

"- Allez les mecs. Tous au lit, il est déjà super tard, on a été dépassé par votre arrivée. Allez au dodo les cocos"

Au dodo les cocos ? :hum:

Je me lève. Merde...j'avais oublié la bite.

 

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