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Une colonie de naturistes (PARTIE 3)
par Anonymous le, 21/07/2019

CHAPITRE 22

Rapidement, le duel devient une bataille collective.

Hé, hé je suis vraiment un king

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-------------
Un des monos est arrivé. Il a puni tout le monde sans pouvoir sortir de sa maison. Cécile a essayé de s'incruster mais Charles l'a vite remballé. Pff j'allais passer un après midi avec Bill et ma maison

- Tu veux qu'on aille sur le pc ? me demande Bill

Ca m'embête de dire oui après ce que je lui ai fait. Mais j'accepte bien sûr. Je revois mes vêtements. 3 jours que j'ai appris à vivre à poil. J'entends un bruit bizarre...une sorte de bourdonnement. Merde mon gsm !! Je fouille ma poche de jean. Je le retrouve. 27 messages non lus :s
La plupart : des appels en absence par mes parents. J'ai pas forcément envie de leur parler. Mais le gsm bourdonne de nouveau. Ah c'est Max qui m'appelle, mon meilleur pote.
" - Allô.
- Salut max c'est Franck !
- Hey, alors ça va ta colo ?
- Bah...
- Tain faut que je te raconte. Je suis allé dans une plage ici en Espagne. Y'avait une fille à poil !! Franck, complètement nue !! Tu peux pas t'imaginer.
- ...Non surement pas.
- T'as manqué quelque chose Franck.
- Oui je suppose.
- Et sinon tu t'es fait des potes ?
- Bah...ya presque que des kikoolols ici.
- Argh
- Mais bon j'ai un pote, et une pote.
- Quoi ? T'as rencontré une fille ?
- Ouais et j'ai déjà fait les prélim'
- ...Pardon, je voudrais parler à Franck.
- Mais c'est moi putain !
- J'y crois pas
- Bon j'y vais ça va me couter la peau du cul sinon.
- Ok ciao !"

J'ai vraiment changé tant que ça ?
Bill surfe déjà sur le net. Je m'incruste. Chaud le mec il a steam sur son pc

- T'as Steam ?
- Bah ouais, j'ai counter.
- Ah ok

On continue à parler. Finalement on laisse le pc de côté et on joue aux cartes, avec une douce musique de rock qui sort de l'ordi. Un mono passe chez nous. C'est Charles.

- Vous avez un pc ?
- Oui et quoi ?
- Je peux envoyer un mail ? demande-t-il.
- Va chier !

Il se casse. Mais qu'est-ce que je le hais.

Après un bon repas italien (pour changer) on va se coucher. Enfin...je suis vraiment fatigué.

Couché je pense...ai-je vraiment changé ? Suis-je un autre ?

C'est bizarre la vie...en 3 jours j'ai changé...complètement. Peut-être est-ce l'effet colo ?

Je me suis fait des potes (3 !), je m'amuse...sans pc !

Et dire qu'il ne reste plus que 11 jours


CHAPITRE 24

Je reviens chez moi, l'esprit appaisé.

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--------------
A 7 heures, les monos nous réveillèrent. Dur dur de se lever quand on a fait la fête toute la nuit. Bill est dans le même cas que moi.

- J'ai une des ces migraines :-(
- J'ai la tête dans le cul :-(
- Pas envie de me lever :nonnon:

On a du avoir l'aide de Charles pour nous faire lever à fessées (et ouais, même à 15 ans on nous bat les fesses).
On se dirige lentement vers le resto, en nous racontant nos évènements de la soirée. Bill s'est autant défoulé que moi, pas de doutes là-dessus. On retrouve nos deux fiancées déjà au déjeuner, en bavardant entre elles. Elles ont l'air quand même vachement plus fraiches que nous deux. Elle sourient en nous voyant arriver.

- Alors les garçons ? Bien dormi.
- Mrfl.
- Pardon ?
- Nan rien...une douche me fera de l'effet :nah:

Bill n'a même pas répondu. Il s'est assit et s'est servi un bol de céréales. Il a déjeuné sans parler, crevé par la mauvais - ou bonne - nuit qu'il avait passé. Moi j'arrivais quand même à parler, mes avec des phrases simples, sans subordonnées...et sans verbes
Je vis Marc se lever. :mort:

" - Vous attendez surement de savoir...quelle activité va-t-on faire aujourd'hui ?"

Tout le monde fit 'ouiiiiiiiiiii' sauf moi et Bill.

- Et bien nous allons faire une chouette journée sportive.

Beurk...je suis crevé...tout ce que je voudrais c'est dormir. Mais tout le monde a l'air tellement content.

- Rendez-vous à 9 heures sur la plage.

Après notre déjeuner, nous rentrons tous les quatre à la maison banane. On discute de tout et de rien et on joue aux cartes. Arrivée 9 heures, on se dirige vers la porte quand Bill m'appelle.

" - Hé Franck. Si on séchait l'activité ?
- T'es fou ? On peut nous virer pour ça :hum:
- Bah on a qu'à dire qu'on se sent pas bien.
- ...
- Allez !
- Bon ok."

Ainsi, on reste tous les deux dans notre cabane. On se couche sur notre lit et on se laisse emporter par les rêves.

Je suis réveillé par un courant glacial sur mon dos. Je me saisis et tombe de mon lit. Je vois Pitoi-Charles, un sceau à la main et plein de gosses de sept ans qui rient derrière.
bill a été réveillé également et nos deux lits sont trempés.

- Alors, on "sèche les activités" ? Je vous ai bien mouillé alors pas de problème.

Les enfants derrière rigolent de plus belle. Je sens ma haine envers ce frimeur remonter. C'était le goutte d'eau glacier qui fait déborder le seau. Ma vengeance n'allait pas durer, il allait se souvenir de moi, même si ça mettait en cause ma présence dans cette colo. On se dirige donc, Bill et moi vers la plage, trempés et déjà bien plus réveillés.

Arrivés, quelle fut notre surprise en découvrant des enfants jouer au foot. Chouette, quelle variété de sport :hum: !

Ce :censure: de Charles me met dans une autre équipe que Bill. Je suis entouré de personnes que je connais pas. Je me rends compte que je ne connais que Julie, Cécile et Bill. Argh :-(

J'essaie de faire connaissance.

- Salut.
- Bonjour.
- Tu t'appelles comment ?
- Kevin.
- Ok bon bah ciao.

Pff, je l'aime déjà pas :-d

Le match commence. Je me mets pénard en défense, pas question de jouer. Charles se fait l'arbitre...il va tout décider et il me déteste. Je vois l'attaquant adverse foncer vers moi. Je fais exprès de m'enfuir vers la gauche laissant l'attaquant contre notre gardien qui m'insulte depuis sa cage. Hé hé, il va regretter de m'avoir dans l'équipe. Avec un peu de chance il se plaint et je suis envoyé dans l'équipe de Bill. Soudain...j'ai mon idée.
Le gardien me fait la passe, et concentré, je forme mon shot le plus puissant que j'avais jamais fait. La cible : Charles bien sûr. La balle en plastique atterrit lourdement sur sa jambe. Il pousse un petit cri de douleur. :content: j'ai adoré.
Je passe donc mon match à viser Charles. Chaque fois je lui sors un 'oups, je voulais pas' et chaque fois je me marre autant. Ce mec est une vrai victime, il me fait tripper.

Il finit le match endolori de mes coups. On croirait voir un dalmatien à tâches rouges. Il est trop drôle. Bill arrive vers moi en souriant.

J'ai pas été assez discret dans mes attaques ?


CHAPITRE 25

J'ai pas été assez discret dans mes attaques ?

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-------------
On se casse tous les deux vers les maisons. Charles s'approche de nous. Je retiens mon souffle.

- Qu'est-ce que vous foutez ?
- Bah on se casse, le match est fini.
- Et les autres sports ?
- Quoi c'est toujours pas fini ? C'était pas déjà assez chiant :hum: ?
- Une journée sportive c'est pas qu'un sport les mecs.
- Chaud la journée sportive de merde.
- Bon cessez de râler.

On suit Charles à distance. Les autres placent le filer de volley sur le sable. Moi j'en ai rien à :censure: :-d

Je m'approche de l'eau. Je me suis encore jamais baigné. Alors je rentre...elle est fraîche. Sur le sable y'a Bill qui me fait des grands gestes en me disant de venir. Mais moi je reste. Je profite pour faire sortir mon liquide acide, ça soulage bien. Surtout avec le manque évident de chiottes.
Je ressors et rejoins Bill.

- Bon, c'est volley maintenant ?
- Ouais :hum:
- Moi qui pensait que ça pouvait pas être pire.

Pour la deuxième fois on me sépare de Bill. Je résiste à la tentation d'étrangler Charles. Le match commence et exprès, je rate la ballon. Les membres de mon équipe se mettent à râler comme des vaches. J'en ai marre. Je passe en dessous du filet et passe de l'autre côté. Je dis à un des membres de l'équipe de se casser. Charles m'a regardé faire mais n'a pas réagi. Il doit en avoir marre :sournois:

Là je joue vraiment. Même si je lance parfois exprès la balle dans les :censure: de mes adversaires, je ne rate que très peu de balles. Bill lui, joue pro. L'air concentré, les jambes prêtes, les bras en l'air. Il s'y croit même un peu trop. Le match (chiant à crever) fini, on s'apprête à rejoindre nos maisons quand revient Charles, le pro du chiant.

- Je suppose que vous n'avez pas oublié le prochain sport...
- Bien sûr que non (:censure:).

On fait retour en arrière. Tandis que j'ai la tête tournée je me prends quelqu'un dans la gueule. Je m'écrase par terre.

- Putain c'est qui le :censure: qui m'a fait tomber ?

Je me relève c'est Nathan.

- Ah excuse moi Franck.
- Nan c'est rien.
- T'as retrouvé ta nudité, je vois ?
- Et ouais, j'ai compris le plaisir des :censure: à l'air.

Il rigole. J'ai vraiment le don pour mettre une bonne ambiance.

- Pff j'ai pas envie de rentrer...dit-il.
- Bah ça va il reste encore pas mal de temps.
- Heureusement :-d

On s'avance vers les autres moutons qui creusent les petits trous de golf. Faut dire que golf sur plage ça avait jamais été fait. Moi, trouble-fête je rebouche les trous après leur passage.
Conséquence : une demi-heure plus tard le jeu n'a pas encore commencéCHAPITRE 26

Conséquence : une demi-heure plus tard le jeu n'a pas encore commencé :-d

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Charles qui m'a remarqué m'envoie voir Marc. Chaud la deuxième fois que je vais aller le voir personnellement. Je m'approche de sa maison. Je frappe à la porte. Personne ne répond. J'ouvre la porte. Personne n'est là...

J'avance jusqu'au centre de la pièce. Quel bordel ! Y'a des feuilles partout. Sur le bureau, une pile de + 100 feuilles. Toutes structurées par parties. Je m'approche et j'échange deux des feuilles :rire:

Puis deux autres. Je finis par les changer toutes d'endroits.
Je sais je suis chieur. Mais j'aime ça :-d ))

Je resors comme si de rien n'était et je reviens maison banane. Ma folle envie de pisser revient. La mer est trop loin et je me rend donc direction salle de bain. Sur 10 chiottes, 7 sont dégueu. Je décide de prendre des mesures importantes.

Après avoir pissé, je forme une grosse boule de PQ que je jette dans chaque cabinet. D'ici la fin de la journée, ils seront tous bouchés :sournois: J'ai bien sûr tout prévu. Je découpe le dessus d'une bouteille en plastique, qui me servira d'urinoir. De toute façon, durant la nuit c'est cent fois plus pratique. Je me rend donc avec ma fabrication dans ma maison. J'allume ma DS, je joue tranquille. Personne ne vient me faire chier, ils pensent tous que je suis chez le père supérieur.

Quelques minutes plus tard, mon gsm sonne.

- Hé Franck ! C'est Max !
- Ah chouette (voilà l'autre chewing gum)
- Dis, je voulais te demander quelque chose...
- Dis toujours.
- C'est bien en Italie ta colo ?
- Ouais.
- Et elle s'appelle...
- Funny Gogo :honteux:
- Youpi !! C'est sur mon trajet, je vais pouvoir passer te voir.

Argh !! Mon pote va me voir à poil ! Entouré de plein d'autres gens les :censure: à l'air !

Misèèèèèèèèère...

- Mais en fait...les visites sont interdites...
- Bah pour une fois..Je dirai que c'est pour Franck, et puis, te connaissant, tu dois pas te faire trop remarquer. :-d

(Hé hé tu crois :censure: :-d )

- Mais Max, nan, perds pas ton temps.
- t'inquiète j'ai tout prévu. Je passerai une journée avec toi :-d )) Et puis tu t'emmerderas moins.

Aïe...

- Bon Franck j'ai plus beaucoup de créd...

La conversation est coupée. Merde, voilà que mon meilleur pote va venir me voir...C'est ça l'amitié :hum:

Il m'a même pas dit quand il viendrait. Franchement je pense à ce qu'il dirait si il me voyait, nu, avec des potes nus, à me faire le rebelle contre un mono playboy et à pisser dans un urinoir. Tiens, voilà que l'envie me reprend. Je me sens bof, j'ai tout le temps envie de pisser. Je sais pas si ça avoir avec ce que j'ai bu ce matin, le jus d'orange paraissait normal.

Bref, j'inaugure ma bouteille qui servira désormais à recueillir ma pisse. Je resors...Mmmm l'air libre...

Ca c'est quelque chose qu'existe pas à Bruxelles...


CHAPITRE 27

Bref, j'inaugure ma bouteille qui servira désormais à recueillir ma pisse. Je resors...Mmmm l'air libre...

Ca c'est quelque chose qu'existe pas à Bruxelles...

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Je m'avance vers la plage. Je les vois tous, le club de golf dans leurs mains, à tenter de le mettre dans le trou. Pfff, c'est pitoyable. Je m'avance et je fais exprès de laisser des gros trous dans le sable. Ce sera plus chaud pour eux.

Je m'approche de Bill.

- Hello !
- Ca a été avec Marc ?
- Bah y'avait personne.
- Ah ok.
- Bon on se casse ?
- Ouais super.

On part tous les deux. On rejoint le petit village. Je remarque pour la première fois le mini supermarché. Je me demande bien ce qu'ils vendent là bas. Tandis que je m'avance vers les maisons, j'entends un cri qui m'appelle.

- FRAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaanck !

Je me retourne...personne.

- FRAAAAAAAAAAAaaaaaaaaanck !!

Mais enfin...Bill me regarde étonné et voilà qu'au loin je vois quelqu'un d'habillé. C'est bizarre...j'avais plus revu de personnes habillées depuis tellement de temps.

Mais...merde ! C'est Max !

- Et mais !! Franck ! C'est qui lui ? me demande Bill.
- Je sais pas...vite on rentre dans la maison.

On court vers notre maison. On bloque la porte avec une chaise. Ce fou furieux serait capable de la démolir pour me dire bonjour. Je regarde discrètement par la fenêtre. Il cherche quelqu'un. Heureusement, il ne sait pas qu'ils sont tous à la plage.

Et puis là ! Argh ! Y'a Marc. Il sort d'une autre maison. Je le vois s'approcher de Max.


CHAPITRE 28

Et puis là ! Argh ! Y'a Marc. Il sort d'une autre maison. Je le vois s'approcher de Max.

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Par la petite fenêtre je les vois discuter. Je n'entends rien mais je reconnais l'air intrigué de Max. Pff, en même temps qu'est-ce qu'il lui a pris de venir ?

- C'est ton pote ? me demande Bill.
- Bah ouais hélas.
- Il sait que t'es chez des nudistes.
- Bah nan.

Ca fait déjà 5 jours et le nudisme ne me frappe même plus. C'est l'habitude bien sûr. Finalement, j'avoue que je suis pas plus mal comme ça, les :censure: à l'air. Franchement, je suis vraiment mieux. Et c'est pas max-boulet qui va me l'interdire. Alors j'ouvre la porte. A quelques mètres Max tourne la tête. Il me voit. Me regarde de haut en bas en passant par ma bite. Oui...je n'ai plus peur de l'afficher.

Max s'approche :

- Tu quoque fili mi !

(Ah okay la référence en latin : citation de César, go recherche google pour ceux qui savent pas. )

- Oui. J'ai décidé.
- Remets ton froc et parlons un peu, me dit Max.

Je reviens dans la maison. Bill est assis sur le lit. Il approche sa main de Max qui ne la serre pas. Bill, après un regard vers moi, sort de la maison. Je remets mon caleçon et mon jean. Argh ! Ca serre !

- Tu fais du nudisme alors ?
- Bah ouais...C'est pas si mal.
- qu'est)ce qui t'a pris ?
- Bah écoute...c'est mon père qui s'est planté avec la réservation. Il m'a foutu chez les nudistes. Mais c'est pas mal.
- Pff...

Il se lève et regarde vers la fenêtre, l'air pensif.

- Franchement...je te pensais pas...toi...au milieu des gays.
- Bah ça dépend y'a aussi des fi....

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que ma porte s'ouvre brusquement. Apparaît Julie en pleure.

Max ouvre des grands yeux. Il n'a jamais vu une poitrine d'aussi près surement. Julie, toujours en pleurs s'assoit sur mon pantalon. Je fais signe à Max de sortir...ce qu'il applique tranquillement.

- Qu'est-ce qu'il y a Julie ?
- J'ai... j'ai j'ai rompu avec Bill !
- Quoi ? Pourquoi ? Quand ?
- Bah là juste maintenant. Je...je...suis surement enceinte .

Je m'attendais pas à celle là.

- Mais...quand vous avez fait ça ?
- Bah la nuit passée. Il est venu chez moi.

Ouille. Je suis en parti responsable de sa paternité...

- Mais...c'est sûr ?
- Bah...sans preservatif...y'a beaucoup de chances.

Oui en effet...C'est plutôt mauvais pour elle.

- Et alors...
- Et ben il m'a plaqué...comme si c'était ma faute...snif
(Oh le con !)
- Mais tu vas faire quoi ? Prends la pilule du lendemain.
- Où ça ? Où j'en prends ?

Un moment de réflexion me conduit à l'évidence : le supermarché bien sûr.

- J'y suis déjà allé. Y vendent pas...
- Ah...bon bah...va falloir faire avec...tu peux toujours me faire parrain hé hé

Elle se remet à chialer.

- Et il m'a plaqué pour autre chose...
- Ah bon. Quoi donc ?
- Paske je suis amoureuse de quelqu'un d'autre.

Aïe ! Bill a dû tout encaisser d'un coup

- Je suis amoureuse de toi Franck !

J'aurais pu tout saisir sauf ça. Cette fille que j'ai aimé depuis le début...qui m'a laissé pour mini-bite Bill...qui a été jusqu'à me détester...cette fille qui m'a avoué qu'elle n'avait plus rien à voir avec moi.

- Désolé Julie...Je suis avec Cécile maintenant...Désolé. Avant j'aurais dit oui...mais plus maintenant.

C'est en pleurs qu'elle sort de ma maison...


CHAPITRE 29

C'est en pleurs qu'elle sort de ma maison...

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-------------
Max revient dans la maison.

- C'est qui elle ?
- Bah c'est Julie.
- Tu te l'ai fait ??
- Bah presque à l'époque j'étais amoureux...Mais bon...maintenant elle est seule.
- Bah prends la !!
- Nan je suis avec une autre fille. J'en veux pas de deux.

Il me regarde avec de grands yeux.

- Toi ?? T'es maqué ?
- Bah ouais coco. Je suis même plus puceau.
- Fais geeeeeeeeeeenre.
- Mais non putain franchement.
- Et tu penses que je peux me la faire moi ?
- Fais pas ton con Max. Elle est enceinte.
- Argh ! C'est vrai ? Avec toi ?
- Mais non gros con ! Moi avec Cécile j'ai été moins con j'ai mis la capote.

Je ne sais pas pourquoi les conneries de Max ne me font même plus marrer. Je suis de mauvaise humeur. Je me retrouve entre une fille que j'aime, une fille qui m'aime...et un boulet en puissance qui pense qu'à la bite et aux blagues de merde. Je me dirige vers la porte...trop de problèmes. Je commence d'abord par retirer mon pantalon et mon caleçon devant la désapprobation de mon "pote".

A poil, je sors. L'air me caresse le visage. Moi, je me revois encore pendant ma relation. D'abord la première, avec les préliminaires puis avec la deuxième, où j'ai fait le grand pas. Ces moments sont gravés dans ma mémoire. Je repense à Bill. Quel boulet de l'avoir fait sans capote, et pire encore, au mauvais moment du cycle de la femme. Moi j'avais tout prévu au moins. Fin, elle avait tout prévu . Soudain, tandis que j'y pense, se forme une boule dans mon ventre. Je repense à la première fois...et je me rappelle petit à petit..."Les doigts de ma main gauche sont imbibés de ce liquide mais je termine tout de même sa masturbation".
Ma respiration se fait saccadée. Nan pas moi ! Je commence à courir. Je cherche Cécile. Pas moyen de la trouver. D'ailleurs pas moyen de trouver quiconque. Argh ! Ils doivent tous être au resto !
Je cours vers le bâtiment. J'ouvre la porte. Tout le monde bouffe et tout le monde s'arrête en me voyant. Le silence se fait de plomb. Je reconnais Julie, les yeux encore rouges. Je m'approche en courant de Cécile. Tout le monde me regarde.

- Tu peux venir ? C'est important !

Cécile ne comprend pas mais viens quand même devant tous les regards.

On sort et là je lui explique la situation.

- Quoi tu pense que...?
- Bah...j'espère que non
- ...
- Quoi ?
- Je...sais pas. Il faut qu'on fasse un test.
- Ici ?
- Il reste dix jours.
- Et qu'est-ce que tu dis à tes parents ? Que ton amour de vacances est devenu une relation sexuelle d'où est sorti un gosse ?
- Je ferai ce que je peux. Mais dis toi une seule chose.
- Quoi ?
- C'est moi la mère...Dans tout les cas si j'ai un gosse...c'est moi qui aurai toutes les merdes.

Cécile se met à pleurer. J'ai fait pleurer deux personnes aujourd'hui. Plus loin, je vois Max qui mate. Je serre Cécile dans mes bras, je sens sa respiration saccadée et ses larmes sur mon torse.

- Je te laisserai pas tomber...


CHAPITRE 30

- Je te laisserai pas tomber...

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-------------
J'ai pas mangé ce jour-là...Rien ne rentrait...

Je me suis couché sur mon lit. Il était dix heures ou un truc du genre quand apparut Max.

- Hé ! Franck ! Tu dors ?
- Maintenant plus

Il s'assoit sur mon lit.

- Dis j'ai pensé...que je dois franchir la barrière des stéréotypes !
- Quoi ? Tu vas te faire gay ?
- Nan. Je vais rester ici.
- Quoiiiii ?

Je sursaute. Je vais devoir me coltiner ce con.

- Bah oui...Je vais me déshabiller pour voir ce que ça fait.
- Pas devant moi tête d'ampoule.

Avec toutes les emmerdes que j'ai...en plus il va les multiplier par trois.

Je sors de ma chambre. Tout est sombre.
Je me ballade...je passe par la chambre des monos. Personne ! Tiens bizarre. Je me dirige lentement vers le resto. Je regarde discrètement par la fenêtre. Mais c'est qu'ils sont en train de se prendre une cuite !

Alors comme ça on nous interdit l'alcool mais eux en profitent.

En désir de vengeance je vais prendre mon urinoir dans ma chambre. Oui je sais, c'est pas bien. Je verse le liquide sur le lit de Charles.

Je retourne chez moi. Ca m'a un peu soulagé.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Je me réveille la tête dans le cul. Qu'est-ce que j'ai mal dormi. J'ai rêvé que Charles me pissait dessus devant Cécile qui tenait un bébé par la main. Un de ces rêves dont on en sort, la sueur collée partout.
Je sors de chez moi. Je me dirige vers la salle de bain. Là je squatte une des cabines. Tandis que je me nettoie bien, s'ouvre la porte de ma cabine. J'ai juste le temps de voir Max, les :censure: à l'air.

Quelle vision d'horreur que celle de voir son meilleur pote à poil. Ca transforme toute la vision qu'on a de lui.

- Oups désolé Franck. Je savais pas que c'était occupé.
- Boulet ! Si tu vois une cabine avec de l'eau qui coule, le bruit de l'eau qui coule, et la sensation que y'a de l'eau qui coule c'est que l'eau coule !
- Désolé, j'ai pas fait exprès.

Je l'entends dans la cabine d'à côté. Intrigué, je m'accroche au haut du mur. Je me soulève et mate mon pote.
Sa bite est un peu plus grande que la mienne. Finalement, il a pas de quoi être jaloux.
Cependant, je suis encore plus choqué quand je le vois approcher sa main de son zizi...et commencer à se masturber.

 

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