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Chantage odieux 2
par Anonymous le, 18/02/2020

Me mettre complètement à poil devant ma cousine était en soi pas très méchant. Sauf que dans ces circonstances de soumission c’était très très humiliant. Et puis dans la chambre ma cousine (même âge) dormait aussi, Emilie aussi tout comme sa sœur.
Devant le situation, et ses risques, je m’exécutais.
Retirer mon short et mes sous vêtements fut très rapide et c’est à petits pas pressés que mes vêtements confisqués de suite par ma « Jap », nu ( et un peu excité), suivie d’Emilie, je rentrais dans la maison, et gagnait la chambre à l’étage tentant de faire craquer le moins possible l’escalier de bois. Puis je me faufilais jusqu’au lit priant que personne ne me voit.
Ma cousine fut plus bruyante, exprès bien sûr.
Nu sous mes draps, je pensais m’en tirer à bon compte mais quand j’attrapais mon pyjama à côté du lit ; Emilie s’en empara, toujours souriante : « Tu n’en as pas besoin, tu es mignon tout nu. Bonne nuit ».
L’alcool aidant je m’endormais malgré tout ça, excité d’être nue et me demandant comment demain matin je ferai sans vêtements ( ma valise étant restée en bas). Peut être un truc qui traînerait.

.

Le lendemain

Mes yeux s’ouvrirent, levés par le bruit de la maisonnée qui s’agitait. Mes parents et ceux des mes cousines partaient ce matin, nous laissant la maison pour quinze jours. Une manière de plébisciter la liberté pour les enfants, pour eux tout en étant sûrs qu’on ne ferait pas de conneries ! De ce côté la c’était raté !
Tandis que je m’éveillais j’entendais une nouvelle qui me rassura, mais un peu seulement.
Mon père et sa grosse voix rapportait l’événement de cette nuit. Il semblait que le proprio de la moto ait déjà porté plainte et qu’il était sûr qu ce soit un de ces pilotes de sportives ou de fausses custom. OUF ! me voilà innocenté avant d’être jugé !
-« C’est pas cool ce qui lui est arrivé ? tu te rends compte ? «
La voix d’Emilie carillonna à es oreilles. La voilà assise au bord de mon lit. Désagréable réveil !
-« Dis tu te rends compte ? c’est dégelasse tu trouves pas ? une si belle moto ? »
-« Euh..oui c’est vache ! » je savais bien que j’avais intérêt à pas rentrer dans son jeu.
-« Allez tu te lèves ? viens ! ». Elle tira un peu sur la couette. Nu dessous par sa faute je tirai de mon côté.
-« OUAIS lève là le cousin ! » : sa soeur. Assise dans son lit, riant. Ca allait dégénérer. Ce qu’Emilie comprenait très bien en rajoutant des tirages de couette et des encouragements. Oui allez Mayline ( autre cousine), aide moi : on la lève la fêtarde ! Nathalie toi aussi.
Et cette triade de tirer la couette. Et moi nu, paniqué, tenant tant bien que mal cette couette.
Une seconde encore et je lâche tout.
« EH ! regarde il dors tout nu» dit en riant Mayline tandis que petit à petit on devinait ma nudité sous la couette par les bribes de peaux dévoilées.
Ce fut l’encouragement à tout tirer. Moi nu, me couvrant comme je pouvais avec l’oreiller.
Emilie me l’arrache.
Le drap de dessous ! Trop tard ! Nathalie plus vif et forte l’enlève.
Je suis là, nu, humilié, recroquevillé, suppliant, sur le matelas devant mes cousines pétées de rires ! Et qui se rince l’œil.
« Regardez le le cousin comme il est mignon toute nu ! Railleries et chatouilles d’Emilie me harcelèrent ce qui sembla une éternité.
Moi je me sentais honteux et un peu excité. C’etait terrible.
« Tenez là qu’on voit son sex». Emilie me bizutait et Nathalie n’en demandait pas moins. Mayline aussi d’ailleurs s’amusait beaucoup et toujours en fou rire me tint les bras.
Me voilà donc exposée totalement avec des commentaires d’Emilie sur mon sexe.

Me tenant mes poignets derrière la nuque. Je me retrouvais ainsi allongé, nu comme un ver…. et le sexe dressé par la vigueur du matin.

« oh mais tu aimes ça on dirait » me lança Emilie.

Nathalie n’en revenait pas « il est à poil, on voit sa bite ! elle est toute dure ! la honte ! c’est trop bien ! »
Le pire c’était que leur réaction me faisait honte mais m’excitait aussi énormément…. « mais… mais… hé ! arrêtez ! c’est pas juste! »
Un dialogue s’engagea alors entre les filles
« oh c’est trop bien de le voir tout nu, il est tout dressé ! »
« oui et comme ça on voit aussi super biens ses petites boules! »
« la honte, c’est trop bien…. hahahahah »
.
.
Je sentais le poids de leur regards et de leurs rires amusés sur mes bourses….. Quelle honte, quelle excitation aussi… mon sexe offrait une érection magnifique….
Emilie invita sa soeur « allez, vas y touche le, tu vas voir combien il est dur ! »
D’abord du bout des doigts, elle effleura, puis testa la dureté en appuyant avant d’oser prendre la chose dure et chose entre le bout de son index et de son pouce. C’était sans doute la première fois qu’elle touchait et voyait ainsi un sexe de garçon dressé… et c’était la première fois qu’une fille me touchait ainsi.
Emilie, plus expérimentée, encourageait sa soeur « allez, amuse toi avec, touche ses couilles aussi ! »
Lise posa sa main sous mes bourses et remonta, me prenant ainsi à pleine main.
.
.
Je poussait un soupir qui arrêta net mes protestations : waourffff….. hummmm
Emilie, toujours collée contre moi, me chuchotait à l’oreille « »hummm, tu aimes ça, allez avoue…. C’est mieux que la branlette hein ? » je tournais la tête vers elle et me retrouva ainsi le regard au niveau du décolleté du long T shirt qui lui servait de chemise de nuit, plongeant mon regard dans la ligne séparant ses seins et devinant, sans pourvoir le voir, qu’elle ne portait rien en bas non plus.
.
.
« oh, coquin va ! ça te plait ? Ce n’est pas bien de me mater comme ça…. mais ce matin tu l’as mérité hahahaha ! »
Pendant ce temps, Mayline, plus audacieuse, jouait avec ma queue dressée la repoussant vers le haut de trois doigts pour mieux admirer mes bourses « oh, j’en reviens pas ? on voit ses couilles super bien ! hahahahaah »
celà dura ainsi un moment, je ne saurais dire une poignée de secondes ou quelques minutes quand la voix de leur mère interrompit le charme de la scène
.
.
« vous descendez ou je monte vous chercher ? »
.
A ces mots, les filles se levèrent d’un bon, ne voulant être trouvées ainsi et partirent en gloussant, non pas sans avoir au préalble jeté un dernier regard rieur et excité vers moi.
Nathalie me lança « viens vite » … puis en riant « mais rapetisse ta queue avant hahahah ! »…. « t’inquiète pas, on reviendra te voir »
je me retrouvai là, nu et bandant sur le lit, ne sachant plus si devais craindre ou espérer une nouvelle visite de la part de Emilie, Mayline et Nathalie »
Emilie resta et jeta mon pyjama. Elle sourit et me dit « Je suis trop contente ! c‘est que le début ! aujourd’hui si tu veux que je garde le silence tu vas devoir m’obéir… »
Une fois habillée je descendais, humilié comme jamais pour prendre le petit dej et souhaiter au revoir à mes parents. La discussion autour de la moto et les regards d’Emilie, tout comme ceux de Nathalie et Mayline me plombèrent

 

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