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Ado en camp naturiste 10
par Oh_non_91 le, 04/11/2020

Les ados italiens avaient élu domicile dans les rochers après la plage. Ils nous attendaient de pieds fermes. Les 2 chefs étaient sur les rochers, chacun dans une sorte de speedo que je trouvais vulgaire, l’un était très poilus trapu et musculeux, l’autre fin et presque imberbe. L’imberbe était le plus jeune, je dirais 14, 15 ans, en tout cas plus jeune que moi et l’autre, plus agé je pense. Chacun avait une fille magnifique à côté de lui, le trapu avait une fille grande avec de long cheveux noir ondulés, des seins énormes qui débordaient presque de son bikini en triangle. Le jeune avait une fille menue mais avec beaucoup de charme et un regard de braise, ses seins étaient certes plus petits mais déjà au moins du bonnet C.
Presque à leur pied, dans le sable il y avait les 3 tout nus. On voyait bien la différence de classe, comme si les nobles étaient habillés et les serviteurs nus.
Ils étaient les 3 assis directement sur le sable dans la même position, jambes tendues légèrement écartés, sexe rasé et bien visible. Il y avait la fille, celle qui était un peu ronde mais qui m’électrisait. Et il y avait un gars qui devait bien avoir dans les 15 ans, et l’autre plus jeune dans les 12 à 13 ans je dirais.
L’imberbe qui était visiblement le vrai chef même s’il était l’un des plus jeunes pris la parole
- Alors tu viens t’acquitter de ta dette, c’est courageux au moins. Peut-être que tu veux nous rejoindre sur le rocher ? ou alors tu sais déjà que ta place est dans le sable ?
- Qu’est ce qui détermine cela ?
- Ah mais tu as l’air fin. Tu vois mon père dirige l’un des puissants syndicats patronaux, et sur le rocher, seules les familles d’entrepreneurs peuvent venir, les fils d’ouvrier doivent apprendre leur place.
- Mais c’est dégueulasse, ils n’y sont pour rien leur gosse…
- Oui, mais ils savent que leurs parents luttent pour garder leur boulot, alors ils ne veulent pas créer de problèmes pas vrais ?
Ces connards m’étaient déjà antipathiques au début, mais alors là, j’avais carrément envie de leur casser la gueule.
- Alors on n’a pas la journée, si tu es fils de quelqu’un d’important, tu nous le dis et si on est d’accord, tu pioches le défi de l’élite et sinon tu pioche le défi du peuple…
Il y avait sur le rocher 4 papiers, et sur le sable 3 papiers. Pour un français, il leur manquait visiblement une révolution…
S’il savait ce qui étais ma mère, il me supplierait de prendre place avec eux. Mais jamais je n’accepterais une telle chose. Je me penchais et j’attrapais un papier du bas sous leurs quolibets.
Eric le traduisit presque en bafouillant :
- Tu dois faire un tour de toutes les allées, de la plage et de toutes les installations, entièrement nu, sans te couvrir, sans courir et en discutant avec toutes les personnes qui le désire.
Le sol se dérobait sous mes pieds, j’avais perdu. Comment je pouvais imaginer un truc comme cela. J’allais devoir renoncer et perdre la face devant ce connard. J’étais tellement sous le choc que j’ai mis un moment à voir qu’il trépignait, enchainait, visiblement les jurons en italiens et menaçait les 3 nus. Je regardais Eric qui me traduisit :
- Il est furieux car visiblement, il leur avait demandé d’écrire des gages bien pire pour être sûr que tu ne les ferais pas, Il les menace. Tu vois sa copine à côté ? Elle lui dit que cela ne sert à rien de s’énerver, que tu ne vas pas le faire.
Effectivement, il m’a regardé et s’est calmé et me regarde avec un grand sourire, il parle à ces amis. Je demande à Eric de traduire
- Je ne comprends pas tout, désolé, mais il se moque de toi, il dit qu’elle doit être très petite, pour ne pas accepter un gage comme celui-là.
A ce moment-là, le chef baisse le devant de son maillot et exhibe sa bite poilue en la faisant bouger. Les autres sur le rocher rient.
- Dis-lui que je relève le défi.
Eric a levé mon bras comme un boxer qui gagne un combat, et a cloué le bec à cet avorton minable. Je me suis senti fier, comme un super héros qui combat un super méchant, puis j’ai réalisé ce que cela impliquait.
- Eric à continuer à parler, et à discuter avec l’avorton.
- Qu’est ce que vous vous êtes dit ?
- J’ai négocié, que tu ne le fasses pas maintenant, mais dans 30 min.
- Pourquoi ?
- Ne perdons pas de temps je t’explique en route. Bravo pour ton courage, je n’aurais pas cru que tu dirais oui.
- Je ne voulais pas, mais j’aurais encore moins supporté de perdre la face devant ce connard.
- Tu vas être un héros chez nous, alors.
- J’espère bien (rires) Et alors pourquoi pas maintenant et ou on va ?
- Fait moi confiance.
Il est passé à sa tente, a pris sa trousse de toilette, sa serviette et nous sommes partis en direction des douches.
- Je t’ai vu hier et tu as une sacrée touffe de poil en bas. Regarde autour de toi, tous les nudistes se rasent ou se coupent les poils, je suis sûr que tu veux être discret alors il faut mettre de l’ordre la dedans.
Il est rentré dans la douche avec moi et je l’ai laissé faire. J’avais un truc difficile à lui demander, mais je sentais qu’il le savait aussi. J’ai pris l’initiative de baisser mon short, j’étais nu et dur devant lui. Il a ri.
- Avec un bâton pareil, poils ou pas poils, on ne va voir que toi !! Bon si tu es d’accord, on commencer par s’occuper de ça.
Incapable de parler, j’ai fait oui de la tête comme un enfant. Il a allumé la douche et sans aucune gêne il a empoigné ma bite.
- Pour répondre à tes questions, j’aime plutôt les filles, mais j’aide aussi Louis qui a réussi le même défi que toi, et avant je jouais parfois avec mes cousins… Mais avec toi, il faut bien 2 mains pour en prendre soin, elle est belle et large dis donc.
Je le regardais, il n’avait pas l’air gêné, moi j’étais honteux de me laisser faire. Cela n’a pas mis plus d’une minute, je me suis tendu comme jamais et j’ai arrosé son torse en grognant. Il était maculé de mon sperme
- Hé bien, il y avait de la pression !!!
Il est passé sous la douche, lui aussi bandait, je savais que j’aurais dû lui proposer de lui rendre le même service, mais il n’a rien demandé et je n’ai pas osé.
- Tu veux tout raser ou garder des poils courts ?
- Heu…C’est quoi le mieux ?
- C’est une question de gout, je trouve mais bon, on pourrait dire que tu feras plus jeune passe partout, si tu es rasé, et plus viril et assumé si tu gardes des poils. Mais dans ton cas avec la bête que tu as, tu ne passeras jamais pour un enfant.
- Alors gardons un peu de poil, je veux encore me reconnaitre.
Il s’est agenouillé devant moi à quelques centimètres de ma bite et les touffes de poils ont commencées à tomber dans la douche.
- Ne bouge pas.
Il a enduit mes bourses de mousse à raser, je lui ai demandé si c’est indispensable, il m’a dit oui, fait moi confiance à la fin. En fait il était hyper doux, je rebandais déjà un max. Un garçon me rase les couilles et je bande, suis-je normal ? Il m’a demandé de me tourner et de me pencher, j’ai dit fermement dit « non pas là. »
- Comme tu veux, mais tu rates un truc, comme pour les dessous de bras, ne garde pas la moquette, c’est moche et ça pue. Bon ferme les yeux.
Je savais ce qui allait arriver, mais je n’ai rien dit, j’ai fermé les yeux.
Je l’ai entendu rire : « Tu ne crois quand même pas que je vais te tailler une pipe, mec ».
Il s’est remis à me masturber avec ses deux mains, mais en gardant sa tête à quelques cm de ma queue, ses mains passer sur mes couilles lisses. En moins de temps qu’il ne m’aurait fallu tout seul, j’explosais à nouveau. J’ouvrais les yeux pour le trouver le visage maculé de sperme tout souriant.
- Et bien mon vieux, je n’aurais jamais cru qu’il en restait autant
Il ne semblait ni fâcher, ni gêné d’être ainsi. Il a juste rallumé la douche pour se nettoyer.
- Sors, et attend moi 2 min, moi aussi il faut que je me soulage, et quelque chose me dit que tu n’es pas encore prêt à m’aider. Mais tu ne perds rien pour attendre, tu m’en dois une !!!
Effectivement, je suis sorti, nu, dans la partie commune.
Et j’étais terrorisé d’être, seul et nu, au milieu d’une pièce vide, dans un camp naturiste. Cette pensée me faisait au moins sourire.
Quand il est ressorti, avec son sourire habituel, je lui ai dit merci, il m’a juste répondu que c’était normal pour un ami et qu’en plus c’était normal dans le club de s’entraider.

 

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