Etudiant plumé
par Marcomir le, 22/04/2021Le campus est quasiment désert en ce premier week-end des vacances universitaires. La plupart des étudiants sont rentrés chez leurs parents mais moi, je n’ai pas de voiture et je suis bloqué à deux cents kilomètres de chez moi à cause de la grève des trains. Pour la première fois de ma vie, je me résigne donc à faire du stop.
Une voiture s’arrête. Elle est occupée par deux jeunes mecs à l’air sympa. Le conducteur propose à son copain Stef de passer sur la banquette arrière et m’invite à m’asseoir à sa droite. Je leur explique où je vais. Ils m’expliquent que ce n’est pas vraiment leur direction mais qu’ils peuvent faire un bout de chemin avec moi.
Au bout de quelques kilomètres, ils s’arrêtent: «C’est ici qu’on se sépare, mais l’endroit est désert. On peut t’emmener un peu plus loin si tu veux bien participer aux frais d’essence.»
Je leur explique que je n’ai pas d’argent sur moi. Ils me proposent alors de leur laisser mon blouson en guise de paiement. Je réponds «OK». J’ôte mon blouson et je le passe à Stef qui le pose sur la banquette arrière.
Un quart d’heure plus tard, ils s’arrêtent à nouveau: «Cette fois, on ne peut pas aller plus loin, à moins que tu nous laisses ton tee-shirt.»
Après avoir hésité, j’ôte mon tee-shirt et je le passe à Stef, mais à ma grande surprise, celui-ci dit qu’il le trouve moche et le jette par la fenêtre...
Le conducteur me demande alors d’ôter mes baskets et mes chaussettes. Je m’exécute et je passe le tout à Stef, qui garde les baskets et jette les chaussettes par la fenêtre...
Au bout d’une heure de route, le conducteur me dit: «Cette fois, c’est vraiment là qu’on va se séparer, à moins que tu ne fasses preuve d’imagination...»
Je comprends qu’il convoite mon blue-jean. La situation m’inquiète et m’excite tout à la fois, si bien que je commence à bander. Comme j’ai l’air d’hésiter, ils se mettent à me houspiller: «Alors, tu te décides ? A moins que tu préfères qu’on te laisse ici, en pleine cambrousse, pieds nus et torse nu...»
Je finis par ôter mon jean et je le passe à Stef qui le pose sur la banquette arrière. Je suis désormais à leur merci, vêtu seulement de mon boxer-short qui cache difficilement un début d’érection.
On n’est plus qu’à une vingtaine de kilomètres de chez moi quand le conducteur reprend la parole: «Si tu veux, on fait encore un détour pour te déposer chez toi si tu enlèves ton boxer sans discuter et si tu le jettes par la fenêtre...»