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Intégration team foot
par Anonymous le, 06/01/2016

Cedric n’a pas été tout à fait honnête en me disant que le bizutage n’aurait rien de méchant.
L’autre soir, j’avais rendez-vous avec Sébastien et deux autres potes de l’équipe devant les ‘Ecuries’. Le premier, Paulin, est un grand terminale de Cavaillon, un peu campagnard, qui ponctue toutes ses phrases par ‘Con’, genre « Je suis de Cavaillon, con. » Le deuxième, c’est Gregory, en terminale aussi, mais qui est presque aussi petit que moi. Sébastien avait emmené une lampe torche. Il nous a guidé à travers le bois jusqu’à la départementale. Ensuite, on a marché jusqu’à Fayence en parlant de foot.
On s’est installé avec les fayençois au Bar des Campagnes, sur la place de l’Eglise. C’est un bar sympathique avec des habitués, sans trop d’efforts sur la déco. Enfin quand je dis sans trop d’efforts, je veux dire que c’est une salle avec des tables, des chaises, un comptoir et une vieille télé. Ceci dit, la vue est très jolie sur la vallée en dessous du village.
En attendant le match, on m’a fait boire une pinte de bière et une téquila. Les autres ont juste bu une téquila. On a fait le truc avec le sel et le citron et tout. Pendant le match, on m’a fait boire à chaque fois que la balle était dans la zone de réparation ; c’est-à-dire tout le long du match. Sébastien et Paulin ont bu presque autant que moi, mais pas tout à fait. Autant dire qu’au coup de sifflet final, j’étais bien bourré. Farnerud et Kallon avaient inscris 2 buts et moi j’avais bu 5 pintes.
Comme Monaco s’installait en tête du classement, on ne m’a pas fait chanter devant la gendarmerie, ni rentrer à la mairie piquer le bonnet de Marianne. On a pris le chemin du retour en titubant.
A l’arrêt pipi-dans-la-forêt sur la départementale, Sébastien m’a attrapé par les épaules et alors que je pissais encore, il m’a tourné vers les autres en chantant :
« Regardez Baptiste ! Il a un tout petit zizi ! »
Comme j’étais bien ivre, je me suis rétamé par terre et en me relevant, j’ai crié :
« Bande de cons ! C’est parce que je bande pas ! »
Ce qui les a bien fait marrer. Je n’ai pas un petit zizi…
Mais Sébastien n’avait pas fini de se moquer :
« Bah t’inquiètes, elle grandira ! »
« Mais Zut ! Ta gueule puceau, va ! » Hors de question de me laisser faire.
« Quoi ? Puceau ? Moi ? Tu l’as rêvé non ? »
Paulin et Gregory trouvèrent ça très drôle. Je ne répondis pas.
Sébastien me regarda un peu de travers avant d’aller marcher tout seul devant. Alors que je remballais mon pénis, Paulin m’expliqua que Sébastien avait les nerfs fragiles et qu’il s’énervait vite. Comme si je n’avais pas déjà remarqué !
Le temps de rentrer à Orlovsk et il semblait que tout était oublié. Sébastien me reparlait normalement. En marchant, je me rendis compte qu’on se dirigeait vers le terrain de foot plutôt que vers nos dortoirs. Ivre, j’essayais de ne pas me rétamer sur les racines des arbres dans le bois.
« Où on va ? » demandai-je gentiment.
« T’inquiète ! » répondit Grégory.
Je suivais donc tranquillement les 3 garçons en tentant de ne pas tomber. Dans la pénombre, je me rendis compte qu’il y avait quelques autres personnes près des vestiaires sur le terrain de foot.
Je cru reconnaître la voix de Cédric, le capitaine :
« Ah ! Vous voilà enfin ! »
« Ouais, c’est bon, il est à point ! » lança Sébastien.
Je compris qu’on causait de moi et ça m’inquiéta un peu. En approchant, je vis qu’il y avait Cédric, Abdel Kader, Bruno, Christopher et un garçon dont je ne me souviens plus du prénom. Tous les anciens de l’équipe, donc.
Tout le monde se serra la main. Autour de nous, des bouteilles d’alcool et de coca bien entamées.
« Mais vous avez bu ? » s’étonna Sébastien.
« Ouais, pas grand choses… du JB, Malibu, Absolut ! » rigola le garçon inconnu.
« Abdel Kader, t’es bourré, con ! » s’exclama Paulin. « Ca sert plus à rieng ! »
« Ne vous inquiétez pas » dit Cédric « On a tout ce qu’il faut c’est bon. »
Je n’osai pas trop parler ; j’étais plutôt inquiet de ce qu’on allait faire de moi. Les garçons commençaient à se placer autour de moi. Cédric me demanda :
« Ca va Baptiste ? T’es en forme ? »
« Ouais, ça peut aller… un peu bourré, mais ça va… »
« T’as envie de jouer au foot avec nous cette année ? »
« Euh… Je crois… » hésitai-je.
« Eh ben c’est parfait ! Aller ! A poil ! »
« Quoi ? »
Je n’eu pas le temps de me débattre. Déjà, on m’avait saisi, Bruno commençait à m’enlever le futal pendant que les autres m’enlevaient le polo. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire j’étais tout nu. Et tout rouge.
On me tenait les mains donc je ne pouvais pas cacher mon sexe. Les commentaires fusaient :
« Hey ! La jolie p’tite bite ! »
« Et les p’tites fesses blanches !» en me les tapant.
Bien malgré moi, je commençai à avoir une érection.
« Ouah, ça y est, il bande ! »
« Ah ! Tu caches bien ton jeu, mon salaud ! »
« Il t’en faut pas beaucoup ! »
C’était super humiliant, mais que faire ? Avec tous ces garçons plus âgés et plus forts que moi, je ne pouvais pas me défendre.
Christopher, le beau gosse blond de l’équipe s’approcha de moi. Il avait un ballon de foot à la main.
« Tiens ! » il me jeta la balle « Va sur le terrain juste à l’entrée de la surface de réparation ! »
Je m’exécutai en tenant la balle d’une main et mon sexe de l’autre. Les spots du terrain s’allumèrent et je me sentis super con.
Les garçons approchèrent. Abdel Kader se mit aux cages. Cédric m’expliqua :
« Bon, tu vas tirer des penalties de loin et à chaque fois que tu marques, on te rend un vêtement ! »
« C’est tout ? » demandai-je.
« C’est tout ! » me sourit Cédric en me prenant le ballon et en le plaçant sur la ligne de la surface.
Tout le monde me regardait. C’était un peu la honte quand même. Enfin, lorsque j’approchai pour tirer, Cédric me dit :
« Ah ouais ! Encore un truc, Bruno est parti chercher des filles à leur dortoir ; t’as 5 minutes à tout casser pour récupérer un max de vêtements ! »
Eh merde ! Là j’ai commencé à paniquer. Déjà que je suis pas super à l’aise avec les filles ! Si en plus elles me voient à poil, je suis sûr que je vais bander encore. Je pourrais plus me montrer au lycée. C’est terrible.
J’approchai donc sous les encouragements de Sébastien pour essayer de tirer ces penalties éloignés. En temps normal, je n’aurai pas eu de problèmes à marquer, mais avec l’alcool, mon premier tir très faible n’arriva même pas jusqu’aux cages et fut accueilli par un « Olé ! » général.
« C’est dégueulasse ! » m’exclamai-je « Je suis trop bourré ! »
« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé ! » me jeta Grégory, effondré de rire.
J’essayai de me concentrer un max. Je décidai de ne pas tenir mon sexe en tirant pour avoir plus de chances de réussir.
J’approchai, mon deuxième tir eu plus de puissance, mais Abdel Kader, le rattrapa facilement en envoyant la balle aussi loin que possible. Je dû courir, à poil dans la boue, pour aller chercher la balle dans le bois.
Je revins et essayai de me rappeler tout ce que je savais faire au foot. J’essayai aussi de ne pas écouter les railleries de mes co-équipiers. Avant de frapper, je fis une feinte de frappe et but !
On m’applaudit et Cédric me donna une chaussette. Je tirai ainsi successivement et marquai plusieurs fois. Les autres s’étonnèrent :
« Putain ! Il est fortiche, le petiot ! »
Plutôt que d’être déçus que les filles ne verraient peut-être pas ma bite, ils s’enthousiasmaient :
« Ca va être bon cette année, avec lui et Seb en attaque ! »
« Ah ouais, on va niquer Masséna ! »
La session s’arrêta lorsque Bruno revint accompagné de 4 filles de Terminale. Mais je portais déjà mes baskets et ma montre et mon polo. J’ai juste eu le temps de mettre mon caleçon gagné à la dernière minute pour ne rien avoir à montrer que mes jambes. Désolé les filles, pas de spectacle ce soir.
Tout le monde se rapprocha. J’étais heureux d’avoir échappé au pire, même si je me suis pris la honte de ma vie quand même.
« Ah mince ! » s’exclama l’une des filles.
« Ouais, l’année dernière, Christopher, l’était encore complètement à poil quand je suis arrivée ! »
Je regardai vers Christopher, surpris d’apprendre qu’il y était passé aussi.
« Ouais, mais moi, j’étais pas simplement bourré ! » s’exclama-t-il « J’étais quasi coma éthylique ! »
« Bah, c’est pas grave. » dit Sébastien « On vous la montre quand même, la bite du petit ! » Avant que je n’aie le temps de m’en rendre compte, il avait baissé mon caleçon et j’essayai de me couvrir la queue en me débattant contre lui et le garçon inconnu au rire des filles.
« Arrête ! » lança Cédric autoritaire.
On me lâcha et je pus immédiatement remonter mon froc.
« Il a gagné le challenge, tant mieux pour lui. C’est tout ! »
J’étais rassuré. Christopher me ramena mon pantalon que j’enfilai tout de suite. Tout le monde s’assit sur la butte près du terrain, on me donna un verre de coca.
En essayant de me remettre de mes émotions, j’écoutai les conversations de ceux qui connaissaient déjà le championnat lycéen et des grandes équipes, des joueurs réputés ou à surveiller dans chaque lycée.
J’appris aussi que le bizutage que je venais de subir était réservé à tous les élèves qui entraient dans l’équipe dés la seconde et depuis presque une décennie déjà. On l’avait fait à Cédric et Sébastien, il y a deux ans. Eux, ils avaient marqué juste assez de buts pour se couvrir les parties ; Sébastien avec ses chaussettes et Cédric avec ses baskets. C’est pour ça d’ailleurs qu’on l’appelle « Puma » dans l’équipe ; parce qu’il a ‘niqué’ ses pumas et non pas en référence à la bête sauvage comme je l’avais crû.

 

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