Plan exhib hier soir
par Alexandre le, 12/02/2016Excité par les récits d’Anonymous (seul à l’hôtel), j’ai décidé de me lancer à mon tour et j’ai réalisé mon premier plan exhib hier soir. En voici le récit détaillé:
Après avoir grand ouvert les rideaux de ma salle de séjour et allumé toutes les lumières, je m’allonge tout nu sur le canapé et je commence à me branler. Alors que je regarde l’immeuble en face, j’aperçois la silhouette d’un jeune voisin que j’ai déjà repéré depuis quelques mois et qui est en train de me regarder avec intérêt.
Mon premier réflexe est de me cacher, mais au bout de quelques secondes je change d’avis et je décide de jouer le jeu jusqu’au bout. Je prends une grande feuille de papier, un marqueur et je note en gros caractères le numéro de mon téléphone portable en lui faisant signe de m’appeler.
Le téléphone ne met pas longtemps à sonner. Je décroche et j’entends le son de sa voix pour la première fois. Je lui demande comment il est habillé. Il me répond qu’il ne porte qu’un caleçon mais qu’il est prêt à l’enlever. Je lui demande s’il est prêt à faire un plan exhib avec moi, ce qu’il accepte aussitôt.
Mon immeuble possède un ascenseur qui descend jusqu’au sous-sol, où se trouve le parking. Je lui explique que je vais descendre nu en chaussettes de sport blanches jusqu’au sous-sol et je lui propose de se tenir prêt à me rejoindre dans la même tenue, dès qu’il verra s’ouvrir le portail. Il me répond simplement «OK» et raccroche aussitôt.
Je sors alors de chez moi, nu comme un ver, vêtu seulement de mes chaussettes, et je me dirige vers l’ascenseur. J’appuie sur le bouton, tandis que mon cœur bat la chamade. L’ascenseur arrive enfin et la porte s’ouvre : je me calme un peu car la cabine est vide. La porte se referme et j’appuie sur le bouton du sous-sol. L’ascenseur descend lentement, tandis que ma bite est carrément au garde-à vous.
Manque de chance : l’ascenseur s’arrête au rez-de-chaussée et je me mets à baliser. La porte s’ouvre inexorablement, tandis que je tente de cacher de mes mains l’objet du délit, qui débande aussitôt. J’aperçois le hall de l’entrée tout éclairé, ainsi que la rue, mais il n’y a personne en vue. J’appuie à nouveau sur le bouton du sous-sol. L’ascenseur redémarre et s’immobilise enfin au sous-sol...
Je sors prudemment de l’ascenseur, la bite raide, vêtu seulement de mes chaussettes qui ne sont plus très blanches, et je me dirige vers le portail d’accès au parking. J’enclenche l’ouverture. Le panneau coulisse lentement, laissant apparaître la rue qui longe l’immeuble, mais il n’y a personne... Mon petit voisin s’est dégonflé!
Je ne peux même pas le rappeler puisque je ne connais pas son numéro et j’en suis quitte pour remonter chez moi et soulager mon érection par mes propres moyens...