CFNM
par Anonymous le, 25/05/2016Je n’aurais jamais imaginé que cette soirée finirait ainsi. Tout avait commencé dans un bar où Catherine avait convié quelques amis pour son anniversaire: Alexandre, Claudine, Marie et moi. Nous n’étions venus que pour boire un verre, mais nous étions si bien qu’on y a passé toute la soirée, à papoter, à manger et à boire.
Vers minuit, Alexandre a dû partir et nous nous sommes donc retrouvés à quatre: trois charmantes jeunes femmes et moi. Comme le bar allait fermer, nous sommes allés prendre un dernier verre chez Catherine. L’alcool aidant, je me suis laissé aller à les embrasser tour à tour, à glisser ma main sous leurs vêtements et à me déshabiller moi-même.
J’étais déjà presque nu, la queue raide prête à jaillir de mon caleçon, lorsque Catherine a dit d’un ton brusque: «Non, ça suffit maintenant»…
Claudine et Marie se sont aussitôt soustraites à mes caresses, tandis que Catherine faisait glisser mon caleçon jusqu’à terre. C’est ainsi que je me suis retrouvé nu comme un ver, sabre au clair, parmi trois femmes habillées qui papotaient maintenant comme si de rien était. Elles m’ont interdit de me rhabiller et m’ont invité à m’asseoir sur le canapé, tout en poursuivant leur conversation le plus naturellement du monde.
Cette situation surréaliste m’excitait au plus haut point. Je n’en débandais pas. De temps en temps, une des filles posait sur moi un regard circonspect, en devisant de l’intérêt décoratif d’avoir un homme nu dans son salon. J’étais devenu un homme-objet et je dois dire que ça ne me déplaisait pas.
Voilà donc comment je me suis retrouvé dans une soirée CFNM improvisée. Si vous ne l’aviez pas encore deviné, CFNM est l’acronyme de "Clothed Female Nude Male", autrement dit "Femmes habillées et Hommes nus".
Je pensais que les choses en resteraient là et qu’au lieu de jouer à l’étalon de canapé, j’allais faire le bibelot de salon jusqu’au petit matin. Je réfléchissais à la fragilité du désir masculin en contemplant ma virilité qui perdait peu à peu de sa superbe, lorsqu’elles ont recommencé à me caresser et à me titiller.
Entièrement nu et passif face à ces femmes encore habillées, je n’étais plus qu’un jouet entre leurs mains jusqu’au moment où ma queue, ayant atteint son niveau maximum de turgescence, s’est contractée entre leurs doigts et a dirigé vers elles un puissant jet de sperme. Reprenant la direction des opérations, Catherine a continué de me masturber, achevant d’épuiser ma virilité qui agonisait dans ses derniers soubresauts…