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Mise à l'air à 17a
par Fabrice le, 06/08/2016

Le stage de vol à voile va bientôt s’achever. Nous sommes un groupe de mecs agés 16 et 19 ans mais la particularité cette année, c'est que nous avons un échange avec un groupe allemand. Pour ce stage, une dizaine d'entre eux nous ont rejoins et ont débarqué au début du stage avec leurs parents, leurs planeurs et leurs sœurs « dans le cadre du rapprochement de nos aéroclubs » comme l’a dit le chef pilote.

Aujourd’hui en cette fin de stage, j’ai été « lâché ». Ce premier vol en solo – c’est-à-dire sans mono – s’est bien passé. Dès que j’atterris, Pierre, Jean, Laurent et Steeve me sortent du planeur et me font le tape-cul traditionnel. Heureusement pour moi, ils se fatiguent assez vite !…

C’est bientôt l’heure de l’apéro, on arrose mon lâcher et celui d’un autre jeune pilote de planeur allemand d’à peu près mon âge. Lui aussi a droit à son tape-cul sur la pelouse.

Puis le chef mono allemand nous fait un « speech » auquel je ne comprends évidement rien (bien que j’aie choisi allemand en seconde langue). Il nous remet à chacun l’ insigne de la fédération.

Puis c’est le rite germain pour le lâcher : mon collègue allemand se penche en avant et chacun passe à tour de rôle derrière lui et lui applique une claque sur les fesses. J’avale ma salive, je ne connaissais pas cette curieuse pratique… Je passe dans les premiers et lui tape sur les fesses d’une main mal assurée en pensant à mon tour qui va arriver bientôt.

J’essaie d’évaluer le nombre de claques que je vais recevoir. Aïe ! aïe ! aïe ! Il y a bien une cinquantaine de personnes !

Mon collègue allemand, toujours courbé en avant, n’a pas l’air de broncher, et pour cause !… Il porte un jeans épais ! Moi, en revanche, je n’ai qu’un petit short de sport, et d’une toile fine au surplus !… Sûr que je vais la sentir passer cette fessée !… En plus, il y a quelques costauds qui frappent sévère.

Mes potes, qui n’ont pas encore donné leur claque, me regardent avec insistance en ricanant et en chuchotant entre eux. Je me demande ce qu’ils mijotent.

Les dernières claques données, le premier candidat se redresse et se frotte un peu les fesses, presque comme si rien ne s’était passé.

Ça y est ! Mon tour est arrivé. Je ne suis pas rassuré, mais je dois à tout prix m’efforcer de faire bonne figure, surtout devant les filles ; je suis plutôt beau gosse et je crois que j’ai une touche avec l’une des petites Allemandes…

Steeve et Laurent se placent à ma droite et à ma gauche et m’attrapent soudain par les bras.

« C’est bon les gars, lâchez moi, j’ai pas besoin qu’on me tienne !

- Si, si ! me répond Pierre en s’approchant. C’est indispensable.

- Et pourquoi ? ai-je demandé en me sentant blêmir.

- Des claques sur les fesses, tu appelles ça comment ?

- (Silence de ma part)

- Bon, je réponds pour toi : ça s’appelle une fessée… et pour que tout le monde en profite, on va te déculotter.

J’essaie de me dégager, de me débattre, mais rien à faire, mes deux potes me tiennent solidement.

Je supplie :

- Hé les mecs ! Arrêtez, z’allez pas faire un truc comme ça !

- Courage ! Ça va sûrement chauffer mais ça ne durera pas longtemps, me répond Steeve, visiblement très amusé.

Pierre s’accroupit devant moi et baisse mon short sur les baskets.

Mon t-shirt, un peu court, permet à tout le monde de voir distinctement mon boxer.

Inutile de dire que je suis rouge comme une tomate …

Pierre me tapote le mollet, m’ordonnant :

- Lève ton pied.

Je m’exécute. Le short dégagé de ma cheville il tapote l’autre mollet. je soulève l’autre pied. Me voilà sans short.

Je sens mon sexe qui se recroqueville, j’implore :

- Pitié, déconnez pas !… Pas le boxer!

Pierre reste sourd à mes supplications. Après en avoir saisi l’élastique, il baisse mon boxer sans autre cérémonie. Résigné, je l’enjambe, et me voilà entièrement déculotté.

Pierre se relève et exhibe mon boxer comme s’il s’agissait d’un trophée. Les regards amusés des filles de mon âge se promènent du boxer brandi, à mes fesses nues et à mon entrejambe.

Et moi, je subis leurs commentaires ironiques :

« T’en as une belle paire de fesses ! »

- Oh oui ! Elles sont bien rondes et ne vont pas tarder à rougir…

- Pour un grand beau gosse bâti comme toi, je m’attendais pas à un si p’tit zizi !

- C’est vrai qu’il est petit !

- C’est bien connu : grosses fesses, mais petit zizi !

- Ouaaah, une mise à l’air devant tout le monde ! Ça va ? T’as pas trop la honte ?

Pierre m’attrape par la nuque et me force à me courber. Mon calvaire commence. Les mains frappent mes fesses nues. Les claques tombent à une cadence irrégulière, assez lente. Je vais avoir tout le temps de savourer mon malheur.

Au début ça chauffe, mais c’est moins terrible que je ne le pensais. Au bout d’une dizaine de claques, ça commence à faire mal. Je voudrais renter sous terre. Les vingt claques passées, j’arrête de compter et je contracte les fesses pour soulager mon supplice. Sans m’en rendre compte j’esquisse de drôles de pas de danse.

Les claques s’arrêtent. Steeve et Laurent relâchent leur étreinte. Plus la peine de faire bonne figure, encore moins devant les filles. Humiliation totale devant tout le monde ! Je me redresse en frottant mes fesses tout en sautillant sur place. Tout le monde peut voir mon zizi tressauter à chaque pas de ma ridicule danse de saint Guy, mais ça m’est égal, je souffre, je grimace, mes fesses sont en feu, mes fesses sont des braises, mes fesses se consument, j’en oublie toute pudeur, toute dignité. Heureusement, le douleur finit par s’estomper peu à peu. Je cesse de sautiller et de me frotter les fesses.

Fin du spectacle…
Nous finissons tout de même par attaquer l’apéro. Inutile de dire que je suis le principal sujet de conversation et les commentaires en français comme en allemand à propos de mon anatomie vont bon train.

Quand le stage prend fin, à cause de cette fessée, je n’ai pas eu l’ouverture prévue avec la jeune Fräulein. Il est clair que mon image en a pris un bon coup et que j’ai dû endosser le sobriquet de « Little Dick ».

 

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