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Des vacances forcées.
par Anonymous le, 09/11/2023

Je m'appelle Yanick, il y a quelques années de cela, je venais d'avoir 13 ans, je voyais souvent mon cousin Fred, de quelques mois mon cadet, lors de réunions de famille. Nous nous amusions ensemble depuis que nous étions petits mais il y avait souvent quelques tensions entre nous. En effet, j'étais plutôt intello, premier de la classe, sage. Lui était à la recherche de toutes les bêtises possibles, était dernier de la classe, bagarreur .... Il me disait souvent avec ironie et reproches que j'étais « tellement plus intelligent que lui ». Physiquement aussi, nous étions bien différents. Il était assez petit, presque râblé, brun, j'étais blond, élancé.

Dans la maison de mes grands-parents, nous nous lancions souvent des défis et nous nous imposions des gages parfois gentillets tels que marcher pieds nus toute une journée ou aller sonner chez le voisin et s'enfuir en courant ou supporter dix minutes de chatouilles de pieds. Parfois, les gages étaient plus méchants, on imposait au perdant de lécher les pieds du vainqueur, de se mettre tout nu et de danser de manière ridicule. Une fois, et j'allais le regretter par la suite, j'avais perdu un pari et mon cousin parut un peu bizarre. Il me dit de me mettre nu ce que je fis facilement car je l'avais déjà fait souvent devant lui. En plus, si mon cousin avait encore un petit zizi d'enfant tout brun et un peu plissé, sans un poil, j'étais déjà assez développé et j'avais un sexe blanc, assez long, et quelques poils châtain au-dessus. Mon cousin, disais-je, après m'avoir fait déshabiller entièrement me surprit en me disant :

– Non, en fait, rhabille-toi ... enfin sauf ton slip et ton pantalon ...

Ce petit vicelard savait manier la psychologie, je commençais à me sentir tranquille quand il me dit de me rhabiller pour finalement m'interdire de remettre slip et pantalon ... je me sentais ridicule, on était en hiver, je portais un pull chaud, de grosses chaussures, de grandes chaussettes et j'avais les cuisses, les fesses et le sexe à l'air mal cachés par ma chemises trop courte .... Mon cousin, sans me regarder me dit :

– Bon, tu vas t'en faire une ...

Faussement naïf, je lui demandais :

– Une quoi ?

– Ben une branlette, répondit-il.

Je m'y attendais un peu, j'étais finalement assez excité et même un peu fier de lui montrer à quel point j'étais un grand garçon développé, bien plus développé que lui malgré la différence d'âge de seulement quelques mois.

Je me tournai vers le mur et commençai à me toucher, je fus vite en érection et astiquai mon manche déjà bien développé. Mon cousin passait parfois derrière moi, allait dans la pièce d'à côté, semblait curieux mais aussi gêné. C'est à cet instant que je commis un péché d'orgueil que j'allais amèrement regretter. Alors que je sentais que j'allais éjaculer, je me retournai vers mon cousin tout sourire, le sperme giclant, en lui montrant fièrement, t'as vu, ça y est ... il était face à moi, mais tenait un appareil photo. Il prit deux photos et s'enfuit en courant me laissant pantois, le zizi dans les mains, du sperme à mes pieds. Je compris assez vite qu'il m'avait piégé mais me demandais encore ce qui allait arriver.

Je me rhabillai et alla trouver mon cousin qui m'attendait à l'étage, assis sur un fauteuil, un sourire narquois aux lèvres. Je m'approchai de lui et lui lançai :

– Bon, pourquoi t'as pris des photos ? Tu veux quoi ?

Il me répondit d'un ton ironique :

– Je ne sais pas ?

J'insistais :

– Allez, dis-moi, t'as bien une idée ?

Amusé de me voir si inquiet, il ajouta :

– Bon, je vais être gentil, enfin, si t'es gentil aussi. Je les donnerai pas à tes parents et à tes potes si tu fais tout ce que je veux.

Évidemment, je retrouvais bien là toute la perversité de mon cousin. Il m'avait piégé pour faire de moi son esclave et, je le savais, certainement me ridiculiser. Il profita d'ailleurs de la fin de la journée chez mes grands-parents pour s'adonner à ce plaisir. Il retira d'abord ses chaussettes puis me força à lui lécher les pieds. Il avait de petits pieds solides, courts et bronzés et m'obligea à lécher sa plante, ses orteils, durant dix bonnes minutes. C'était pénible mais relativement facile, ce qu'il me demanda de faire par la suite me fut plus pénible ; il me fit traverser le rue en slip puis revenir. Pour beaucoup de jeunes garçons délurés, ça aurait pu être un pari rigolo ou une fanfaronnerie comme une autre mais j'étais un garçon timide qui se demandait toujours ce que les autres pensaient de lui. J'avais bien vu les automobilistes ralentir, sourire ou s'agacer de me voir, grand garçon mince traverser le rue devant eux en petit slip de couleur. Ils devaient bien se dire que c'était un jeu entre garçons mais j'étais gêné.

Quelques semaines passèrent puis je reçus un coup de téléphone de mon cousin (chose bien inhabituelle). Il me dit d'abord :

– Tu connais mon meilleur pote, Alban ?

Effectivement, je le connaissais un peu, je ne l'appréciais par plus que ça, contrairement à moi, c'était un garçon très sûr de lui, toujours à la recherche de la pire bêtise à faire, bagarreur. Il avait douze ans comme mon cousin, il était assez grand, mince, blond. Le contraire physique de mon cousin mais son alter-ego d'esprit ...

Je lui répondis :

– Euhhh, oui .....

Mon cousin enchaîna :

– On va partir trois semaines au camping cet été, sans les parents, tu vas venir avec nous.

Je répondis :

– Ah bon ? ? ?

Mon cousin poursuivit :

– Ben c'est pas une question, ma mère va demander l'autorisation à tes parents et toi tu vas insister pour venir, sinon, tu sais ce qui va arriver avec les photos et tout ...

J'insistais :

– Ah bon ? ? ? Et pourquoi vous voulez que je vienne avec vous ?

Mon cousin, toujours un peu agressif enchaîna :

– Ben d'après toi ? On va bien se marrer .... Et puis on aura besoin d'un esclave ...

– Ah oui, c'est ça. Répondis-je.

– Ben oui, on va se marrer mais toi, tu te rappelles que j'ai les photos, alors va falloir quand même obéir ... Alban est déjà au courant et il a même vu les photos. Il trouve que t'as une grande queue d'ailleurs ....

J'étais rouge de honte à l'idée qu'Alban et mon cousin se soient amusés à regarder des photos de moi en train d'éjaculer. J'étais aussi rouge de colère à l'idée d'être forcé de passer trois semaines au camping avec eux et j'imaginais déjà les humiliations qu'ils allaient s'amuser à me faire subir.

Un mois après le coup de fil de mon cousin, mes parents avaient été convaincus et il était temps de partir au Camping. Nos parents nous y emmenèrent. On se retrouva là bas puis on fut seuls, les trois garçons livrés à eux-mêmes, avec une tente trois places, une petite table de jardin et des tabourets, quelques vêtements, un abonnement au restaurant du camping et un peu d'argent de poche.

Le soir tombait et on allait partir souper au restaurant du camping lorsque mon cousin et Alban, visiblement très amusés, me demandèrent de rentrer avec eux dans la tente. La tente était très exigüe et nous n'y tenions qu'assis. Ils rigolaient en me regardant, assis face à eux puis mon cousin, un peu gêné tout de même, se lança dans un grand discours :

– Bon, tu sais que, suite à tes problèmes avec les photos et vu que je peux en faire ce que je veux, tu dois m'obéir mais aussi obéir à Alban. Comme tu te la joues avec ta super intelligence et qu'en plus t'es un petit pervers qui se branle devant moi, on a décidé de te punir un peu. Tu seras notre esclave et puis on va un peu te foutre la honte des fois. Pour commencer, en fait, pendant toutes les vacances, t'auras le droit de porter qu'un seul vêtement.

Il se mit à rire puis fouilla dans son sac en riant. Il en sortit un petit maillot de bain slip, blanc, en matière ultra-légère. Il poursuivit :

– Voilà, ce sera ton seul vêtement pendant toutes les vacances. Vas-y, mets le.

J'étais désespéré. Pour moi, montrer mes pieds nus était déjà très difficile, je portais toujours des baskets, et des bermudas longs pour cacher mes cuisses. J'étais affolé, je demandais :

– Je dois me changer maintenant ? Et où ?

Mon cousin répondit :

– Ben oui, tout de suite, et tu te changes ici, t'es pas une gonzesse, tu vas pas te cacher.

Je leur tournai tout de même le dos puis commençai à me contorsionner pour me déshabiller et enfiler ce maillot de bain ridicule. Il était trop petit, il me moulait les fesses et le sexe. J'avais déjà vu des garçons se balader du matin au soir, en vacances, en maillot de bain ... mais pas moi ! J'étais trop pudique et puis ce maillot blanc était ridicule. Je demandai :

– Je peux remettre mes baskets ?

Mon cousin répondit :

– Non, on a dit uniquement le maillot de bain, tu resteras pieds nus tout le temps.

C'était vraiment méchant, habituellement, je détestais même jusqu'à montrer mes pieds nus et voilà que je devais passer trois semaines ainsi, marchant pieds nus, montrant mes cuisses, mon torse, et même, finalement, mes fesses et mon sexe moulés si étroitement dans mon maillot.

Je dus sortir avec Alban et Fred, mon cousin puis nous nous sommes dirigés vers le resto du camping. C'était un endroit sympa mais je me sentais très gêné ainsi vêtu, même si beaucoup de gens autour de moi étaient aussi en maillot. Je me sentais ridicule, et je voyais bien les regards moqueurs ou un peu intrusifs que me jetaient les garçons de mon âge ou quelques adultes aussi. En gros, j'avais quand même l'impression qu'on me forçait à aller au resto en slip.

Après manger, on a trainé un peu dehors jusqu'à la nuit puis on est rentrés à le tente. On est partis prendre une douche, je me suis masturbé un peu excité quand même par mes mésaventures. A côté de moi il y avait un garçon un peu plus jeune que moi, j'ai bien vu dans le reflet de l'eau sur le sol de la douche qu'il faisait la même chose que moi, ça m'a un peu excité aussi. Je suis rentré à la tente toujours vêtu de mon maillot. Fred et Alban s'étaient mis en caleçon et T-shirt de nuit pendant la douche. C'était encore plus humiliant, eux ne se montraient même pas nus devant moi et moi, je devais me changer sous la tente et me soumettre à leur bon vouloir ... j'étais un peu en colère ...

Fred commença à arborer son sourire méchant et narquois qui ne présageait rien de bon. Il dit :

– On a discuté avec Alban, c'est crade si tu portes ton maillot jour et nuit. Tu vas l'enlever la nuit.

Je répondis un peu inquiet :

– Euhhh, et je mets quoi à la place ?

Et il me dit, un peu gêné mais toujours très fier de m'humilier :

– Rien, tu restes à poils, c'est comme ça. Et si tu dois aller pisser, tu mettras le T-shirt là bas dans le coin.

Il montrait un T-shirt un peu long, certes, mais tout de même. En plus, j'avais l'habitude d'aller aux toilettes au moins deux fois par nuit ...

Je commençai à me mettre dans le sac de couchage pour me déshabiller mais mon cousin me reprit :

– Eh, tu rêves, il faut au moins 30°C ! Et puis c'est pas rigolo comme ça, tu vas dormir à poils comme ça, direct, sur le matelas, pas dans le sac.

Bon, j'avais compris, ils voulaient que je me ballade à poils devant eux toutes les nuits ! Que faire d'autre, je devais obéir, j'ôtais donc mon maillot de bain et restait assis sur le tapis, face à eux, les jambes croisées pour cacher mon intimité. Voici qu'Alban prit à son tour l'initiative. Il lança :

– Au fait, tu devrais faire comme sur les photos, t'as pas envie ?

Mon cousin poursuivit en riant et s'adressant à Alban :

– Ouais tiens, c'est vrai. Et puis j'ai une meilleur idée, on va faire comme dans les trucs d'esclaves sexuels et tout, on va dire que chaque fois qu'on lui dit : « branle », il doit se faire une branlette immédiatement comme ça, devant nous. C'est trop marrant, ça va lui apprendre.

Je me sentais mal, qu'allaient-ils encore inventer, quelle perversité !

Alban s'amusa et donna son accord. Bien entendu, le résultat ne se fit pas attendre, mon cousin me fixa et dit : « branle » !

Je ne savais plus quoi faire, j'essayai d'argumenter et dire quelques mots mais tout était confus, je finis par me résoudre et demandai :

– Bon, OK, je le fais ici sur le matelas alors ? Vous avez des mouchoirs ?

Je m'allongeai alors sur le dos, face aux deux garçons qui me regardaient amusés et commençaient à tripoter mon sexe qui se raidit. Comme j'avais déjà fait la chose moins d'une heure auparavant, le supplice dura vingt bonnes minutes devant les garçons amusés et très intéressés. Il me semblait d'ailleurs voir des bosses dans leurs caleçons. Je me mis à jouir devant eux, ce qui était assez gênant mais je n'y pouvais rien. J'aurais voulu pouvoir me rhabiller mais, humiliation suprême, je dus rester nu, mon sexe débandant lentement devant eux.

On se mit alors sur les matelas, côte à côte, j'étais à côté d'Alban, et je m'endormis somme toutes assez vite mais c'était une très étrange sensation d'être couché nu, sans rien sur moi, pas même un drap, à côté des garçons.

Durant la nuit, comme à mon habitude, j'eu envie d'aller aux toilettes, je regardai autour de moi, les garçons dormaient, je me dis que je pouvais remettre mon maillot mais mon cousin l'avait bien planqué dans le sac derrière lui et je ne pouvais l'atteindre sans le réveiller. Je me résolus donc à enfiler le T-shirt qu'il m'avait laissé et sortis de la tente, vêtu seulement de ce T-shirt qui couvrait difficilement mon intimité lorsque je tirais dessus. Je sentais le vent frais de la nuit sur mes fesses, mes testicules, le bout de mon sexe. C'était bizarre ... je me décidai donc à suivre le chemin jusqu'aux sanitaires. Le gardien se tenait au milieu, devant les WC, je décidai donc, pour l'éviter, de me rendre aux urinoirs. Il n'y avait personne, j'urinais, laissant alors remonter mon T-shirt qui dévoilait mes fesses. Un bruit derrière moi me fit sursauter, je me retournai, il y avait un garçon un peu plus jeune que moi, il me sourit en riant un peu, il avait sans doute vu que j'avais les fesses à l'air, ça avait l'air de l'amuser. Alors que je terminais d'uriner, le gardien se posta aussi derrière, il toussa de manière forcée. Je terminai donc d'uriner et repartit vers la tente. Le petit garçon me suivit. Je faisais surtout attention à bien allonger le T-shirt ver l'avant au cas où je croiserais une fille. Le petit garçon qui me suivait continuait à rire. Il avait sans doute une belle vue sur mes fesses nues.

Le lendemain matin, je fus réveillé de manière assez peu sympa par mon cousin. En effet, celui-ci me tripotait le visage de ses pieds nus. Je me réveillai doucement, je mis un moment à me rendre compte que j'étais toujours nu, mon sexe se dressait. Je mis mes mains pour le cacher un peu mais c'était difficile et il n'y avait ni drap ni vêtement pour masquer mon intimité durcie aux garçons qui me regardaient amusés. A peine réveillé, mon cousin qui continuait à agacer mon visage avec ses pieds me demanda de les lui lécher. Je m'exécutai et léchai la plante des pieds de Fred qui semblait fier et amusé. Alban, à ma grande surprise s'approcha de moi et me demanda la même chose, je dus alors lécher les pieds blancs et fins du blondinet qui riait beaucoup.

Puis mon cousin me regarda dans les yeux et me dit : « branle ». La journée commençait fort, ils n'allaient rien m'épargner. Je dus donc me masturber devant mes deux tortionnaires qui s'amusaient beaucoup de me voir ainsi privé de toute pudeur.

On sortit prendre le petit déjeuner au restaurant du camping, j'étais bien sur obligé de porter mon petit maillot de bain slip blanc, mes pieds nus foulaient le sol frais. C'était étrange, humiliant mais un peu excitant aussi.

Le matin, on fit un balade dans le village à côté du camping, il y avait beaucoup de monde, j'étais extrêmement gêné de me trouver ainsi dans les rues commerçantes, sur les trottoirs, portant uniquement mon petit maillot. Les filles et les garçons plus jeunes que moi me regardaient avec insistance et amusement, d'autres plus grands ainsi que les adultes me jetaient des regards tantôt moqueurs, tantôt agacés, tantôt ... je ne sais pas ... bizarres ... me regardant avec insistance des pieds à la tête.

L'après-midi, nous partîmes à la plage. C'était bien et au moins j'avais l'air à peu près normal dans mon maillot même si les autres garçons de mon âge portaient plutôt des shorts ou des bermudas et, qu'en plus, mon maillot blanc était un peu transparent une fois mouillé. Alban s'amusa à me dire « branle » dans l'eau. Je dus donc me masturber plus ou moins discrètement sous l'eau et les garçons s'amusèrent, sous l'eau, avec leurs masques, à voir ce que donnerait mon sperme une fois libéré dans la mer.

La soirée se passa normalement puis je me retrouvais, comme la veille, tout nu dans la tente, assis avec les garçons. Mon cousin prit alors son air un peu gêné qui n'annonçait rien de bon. Il se racla la gorge puis dit :

– Bon, on a discuté avec Alban, tu es notre esclave. Tu te rappelles qu'on enverra les photos si tu n'obéis pas. Alors, voilà, comme on aimerait savoir ce que ça fait ... euh, voilà ... et bien tu vas nous sucer ...

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ces petits pervers voulaient que je leur fasse une pipe. Je ne pouvais pas prononcer un mot.

C'est Alban, le plus déluré des deux qui prit l'initiative. Il s'allongea sur le matelas et baissa son short, j'aperçus alors son sexe blanc, assez long, fin, imberbe. Il me dit :

– Ben allez, vas-y, tu viens me sucer ! ! ! !

Je m'approchai doucement, mit ma tête vers son sexe, le pris entre mes doigts et le mis dans ma bouche. C'était bizarre de sentir ce zizi dans ma bouche, je pouvais tâter la peau fine avec ma langue. Alban riait nerveusement, je commençai alors à sucer vraiment, je pouvais sentir la peau glisser et le gland qui avait une toute autre texture contre ma langue et mon palais. Le sexe se raidit pour devenir tout dur et occuper plus de place dans ma bouche. Alban frissonnait un peu. Mon cousin lui demanda :

– Ça fait du bien ?

Alban répondit, un peu troublé :

– Euh oui, c'est pas mal ... faut imaginer que c'est une fille hein ........

Je me sentais quand même fortement humilié, tout nu, allongé sur le ventre, les fesses à l'air, en train de sucer le copain de mon cousin. J'avais par contre une érection que je cachais contre le matelas. Au bout de quelques minutes, Alban dit :

– Je vais juter ...

Mon cousin, toujours aussi vache avec moi, enchaîna très vite :

– C'est pas grave, il doit avaler ...

J'étais dégouté. Alban eut un frisson et un petit soupir puis je sentis un liquide chaud dans ma bouche. Je me retirai rapidement laissant Alban un peu surpris, le sexe raide, mouillé de salive et de sperme, un peu gêné devant mon cousin qui regardait l'engin de son copain avec insistance. Puis, enfin. Ils me regardèrent droit dans les yeux. J'avais encore le sperme dans la bouche et ne savais quoi faire puis dans une respiration, je l'avalai. Je n'avais même pas, dans la confusion, pris conscience que je m'étais assis face aux garçons. Presque en même temps, ils posèrent leurs yeux sur mon sexe raide. Mon cousin en profita évidemment et dit :

– Et bien, t'as aimé ... j'ai toujours su que t'étais un peu pédé ......

Je me cachais et dit confus :

– Ouais ......... euhhhhhh ....... C'est que ça frottait contre le matelas ..........

Mon cousin ne me laissa pas beaucoup de répit, il s'allongea à son tour et retira complètement son short. Je connaissais son zizi assez petit, tout brun, imberbe. Je le touchais cependant pour la première fois, le mis en bouche, le fit durcir et à nouveau, je dus avaler le sperme, laissant mon cousin tout extatique, le sexe raide, pas très long mais bien mouillé de salive et de sperme, qu'il ne cachait même pas ...

Les garçons rirent puis, se mettant d'accord seulement avec un regard complice, ils dirent quasiment en chœur :

– C'était bon quand même, c'est mieux que se branler tout seul ......

Puis, mon cousin pour qui je devenais vraiment l'esclave à tout faire dit :

– Bon ben on va recommencer. Tu peux nous le faire chacun notre tour mais en même temps, comme j'ai déjà vu dans un film.

Je devais donc enchaîner de nouvelles fellations, allant d'un sexe à l'autre. Ca durait bien plus longtemps cette fois. A un moment, Alban, maintenant tout excité et pas gêné du tout lança :

– J'ai vu un truc une fois dans un film, les deux mecs mettent leur bite ensemble dans la bouche de la meuf ... on essaie ?

Je me retrouvais ainsi avec les deux sexes dans la bouche, suçant difficilement, la bouche distendue, alors que les garçons riaient beaucoup, leurs sexes raides et collés l'un à l'autre dans ma bouche.

Ils me firent recommencer encore une fois puis tout le monde alla aux sanitaires avant d'aller se coucher. Ils m'obligèrent à y aller vêtu seulement de mon T-shirt et je crois que le groupe d'ados que nous y avions croisé avait bien aperçu que j'étais nu sous mon T-shirt.

Les jours suivants furent de la même veine, je dus me masturber en toutes circonstances, lécher des pieds et faire des fellations. Puis on fit la connaissance de deux garçons de quatorze ans environ, accompagnés d'un garçon qui devait avoir dix ans. Ils étaient aussi seuls dans une tente pas loin de notre emplacement. On passa la journée ensemble ce qui fut pour moi une journée de repos car Alban et mon cousin ne purent rien m'imposer ..... enfin à part ma tenue .... à ce propos, le plus jeune garçon, qui s'appelait Loïc, me demanda pourquoi j'étais toujours pieds nus et pourquoi je portais un petit maillot comme ça ... je ne trouvais à lui répondre que : « j'aime bien ça » ... la honte ... je passais pour un gars qui aime bien se montrer à moitié à poils ...

Le soir, nous nous retrouvâmes tous dans notre tente. Les discussions en vinrent rapidement sur le sexe et, ce que je redoutais survint, mon cousin lâcha le morceau. Il dit :

– Au fait les gars, vous savez que Yanick est notre esclave ? ... même sexuel ...

Les autres parurent surpris et ne voulurent pas le croire. Mon cousin raconta alors l'affaire et l'un des deux ados, Théo, un grand garçon très brun à la peau blanche, élancé, à l'allure juvénile dit :

– Ben alors, prouve le nous.

Mon cousin sauta sur l'occasion, il me dit :

– Allez, fous toi à poils.

Je protestai mais mon cousin me rappela qu'il détenait les photos. Devant les regards médusés de Théo, Loïc et du deuxième garçon, Julien, un grand garçon fin et musclé, blond à la peau dorée, j'enlevai mon petit maillot, restant assis les jambes croisées. Alban, voulant montrer qu'il était aussi mon maître, me lança :

– Allez, t'écartes les jambes et tu montres ta bite.

Humilié, je dus m'exécuter et écartait les jambes devant les trois garçons qui ne regardaient plus que mes parties intimes. Ils étaient médusés. J'étais rouge de honte. Je voyais Loïc avec un sourire, il ressemblait tant à son grand frère ... c'était juste le modèle en dessous, mignon, très brun, la peau très blanche, un peu moins élancé.

Puis Théo demanda :

– Et vous lui faites faire quoi alors ?

Ben n'importe quoi, on peut lui demander de se branler par exemple ...

– Sérieux ! ! ! ! ! ! répondirent Théo et Julien en chœur.

– Ben ouais ! Fit mon cousin, et il ajouta : mais on va pas lui demander devant ton petit frère.

Théo répondit en riant :

– T'en fais pas, avec Julien on se branle sous la tente et mon frère, il le fait même avec nous des fois.

Entendant cela, mon cousin me donna l'ordre de me masturber. C'était absolument humiliant de devoir astiquer mon membre comme ça, nu, au milieu de tous les garçons qui me regardaient.

Puis Alban lança :

– Il peut même sucer ! ! !

Julien prit un air dégouté :

– Sérieux, il vous a sucé ... vous êtes des gros pédés ...

Alban poursuivit :

– Ben non, un bouche c'est une bouche, t'a qu'à imaginer que c'est une meuf ......

Théo poussa Julien du coude et lui dit en riant :

– Viens on se fait sucer, j'aimerais trop savoir comment ça fait ...

Les choses allèrent vite. C'est comme ça que je me retrouvais toute la soirée à sucer les garçons. D'abord Alban puis mon cousin pour donner l'exemple. Ensuite, ce fut au tour de Théo. Il avait un zizi assez long mais pas trop épais, surmonté d'un peu de duvet noir. Julien était lui imberbe mais il avait un gros sexe long et épais que j'ai trouvé humiliant à sucer car il me prenait toute la bouche. Les garçons parvinrent à convaincre Loïc de se faire sucer également, lui qui restait très attentif mais un peu timide. Le garçon avait un petit zizi tout blanc, tout raide veiné de bleu. Je le suçai durant quinze bonnes minutes, il y prit du plaisir mais ne pouvait visiblement pas éjaculer.

Mon cousin apprit aussi aux garçons à quel point j'étais expert pour m'humilier en léchant les pieds des gens. Je dus donc longuement lécher les pieds de tous les garçons, Théo et Julien, leurs longs pieds juvéniles mais si grands, Loïc et ses petits pieds ronds et Alban et Fred bien entendu.

Il se faisait tard, on devait aller aux sanitaires puis partir se coucher. Julien dit alors :

– Au fait, c'est lui qu'on a vu l'autre jour avec juste un T-shirt et rien dessous aux toilettes ...

Alban répondit :

– Ouais, pour lui foutre la honte, on l'oblige à aller comme ça aux sanitaires la nuit ......

Les garçons rirent de bon cœur puis Théo dit :

– Et si on l'obligeait à y aller à poils, sans le T-shirt ?

Je refusai catégoriquement, c'était impossible d'autant que je savais que le gardien était là et qu'on y croisait pas mal de monde. Théo proposa alors :

– OK, t'y vas en T-shirt mais tu dois te branler à l'urinoir et tu dois pas arrêter même si quelqu'un vient.

J'acceptai de mauvaise grâce sous la menace de l'envoi des photos ... comme toujours ...

Nous partîmes tous aux sanitaires. Arrivé à l'urinoir, les autres se placèrent aux divers urinoirs et moi, je me mis donc à me masturber en essayant de faire vite de peur que quelqu'un ne vienne, d'autant que j'avais les fesses bien à l'air. Les garçons riaient à côté. D'un coup, Julien qui était à côté de moi partit et je sursautai car quelqu'un d'autre venait à mes côtés. C'était seulement un petit garçon qui devait avoir 8 ans. Il regardait avec insistance mes agissements et mon sexe tout dur que j'astiquais mais tant pis, je devais poursuivre. Puis je sentis une grosse main sur mon épaule. Je me retournai, les garçons étaient un peu plus loin, me regardant, en train de rire et un homme se tenait face à moi visiblement en colère. Il me dit :

– Non mais oh ! Allez jouer à ça ailleurs bande de petits débiles ! J'emmène mon fils pisser, c'est pas pour qu'il voit vos ... saletés ... ! Et toi, t'as même pas de slibard ! Franchement !

J'étais pétrifié, mon sexe raide qui pointait sous mon T-shirt. Je partis finalement en courant vers la tente et croisais deux garçons de mon âge qui sans doute eurent l'occasion (je le vis à leur expression) d'admirer mon sexe encore raide sortant dessous mon T-shirt et mes fesses à l'air.

Une fois rentré à la tente, les garçons étaient pliés de rire. Pas moi, ça va sans dire. Théo qui décidément allait se montrer bien plus pervers encore que mes deux tourmenteurs habituels dit :

– Bon, t'as pas fait ce qu'on t'a dit. T'aurais dû continuer. On va devoir te punir. Puis il ajouta : on lui fait quoi comme punition ?

Mon cousin dit :

– On lui met une fessés cul nu ! ! !

Le petit Loïc dit :

– On lui frotte le zob avec une éponge grattante ! ! ! !

Théo dit :

– On l'encule ...

Tous se mirent à rire mais Alban reprit :

– Ouais pourquoi pas en fait, ça lui apprendrait .....

Je me sentais tout petit, assis sur mes fesses nues, je me voyais déjà les fesses en l'air, obligé de me faire sodomiser par les garçons. Julien dit alors :

– Ouais mais il faut de la vaseline ...

Théo reprit :

– Demain, on n'a qu'à l'envoyer au Sex Shop au bout du village pour en acheter.

– Ouais bonne idée, répondit Alban.

Les garçons repartirent et je m'endormais donc sur cette idée qui ne me réjouissait pas du tout et dans la peur de me faire sodomiser dans les prochains jours.

Le lendemain nous partions donc avec Alban, mon cousin, Théo, Julien et Loïc vers le Sex-shop. Pour ça, nous dûmes traverser toutes les rues commerçantes du village. J'étais toujours vêtu de mon seul maillot slip blanc alors que tous les garçons autour portaient bermudas, T-shirts et baskets ou tongs. Arrivés devant le Sex-shop, les garçons rirent un bon coup et me firent entrer avec un petit porte-monnaie où se trouvait un peu d'argent de poche. Un homme se trouvait derrière la caisse. Quand il me vit, il me dit :

– Eh, t'as pas l'âge pour entrer ici !

Puis il me regarda des pieds à la tête, lentement et me dit :

– Eh bien, tu t'habilles léger toi ! Bon, y'a pas de clients alors je te fais une fleur. Tu veux quoi ici ?

Je répondis timidement :

– De la vaseline ...

Le type me regarda longuement, complètement ahuri puis il se reprit :

– Euh ... de la vaseline pour quoi ? Pour qui ?

J'eus la force de répondre :

– Pour des copains ...

Le type me répondit :

– OK, je vais aller en chercher ... t'as de drôles de copains toi .....

Il partit dans l'arrière boutique. Dans le même temps, un autre homme entra et me regarda aussi de la tête aux pieds. Le vendeur revint et dit à l'autre client :

– Salut Marco, ça va ?

L'autre répondit :

– Ouais ... dis donc, tu fais dans le jouet pour enfants maintenant ? Ca doit te changer du Sex-Toy ...

Le vendeur se mit à rire :

– Attends, le gamin veut de la vaseline pour des copains .... Y'en a qui s'amusent en vacances, je te dis pas .... Ah ils sont précoces les gamins de nos jours ........ bon, c'est 25 Euros le pot.

Je regardai dans le porte-monnaie puis dis :

– J'ai pas assez ....

Le vendeur répondit :

– D'accord ...... bon ...... je veux bien te faire un cadeau mais on va faire ça à l'ancienne .... Hein mon Marco .... Comme quand, au bar, on punissait, à la place de leur père, les enfants des mecs qui buvaient trop et qui pouvaient plus payer ... le zigouigoui sur le comptoir mon pote ! ! ! ! !

L'autre se mit à rire. Le vendeur poursuivit :

– Je rigole pas mon grand, tu poses ta quéquette 2 minutes sur la banque et je te fais cadeau.

Les deux hommes riaient. Je savais de mon côté que je risquais gros à ne pas ramener la vaseline, outre l'envoi des photos, je prenais le risque de me faire sodomiser sans vaseline, d'avoir d'autres punitions etc .... Après tout, si c'était juste une petite humiliation de plus. Je m'approchai donc de la banque, essayai de sortir mon sexe et le poser devant les deux hommes qui riaient mais comme le slip remontait, je dus me résoudre à baisser le tout, restant aussi les fesses à l'air. Je posai mon zizi sur la banque. Le vendeur me dit de mettre les mains sur la tête. Les hommes me regardèrent en riant. C'était extrêmement humiliant. Au bout de quelques minutes, le vendeur me dit :

– Allez, remballe le paquet, t'as bien mérité ta vaseline .... Et vas y mollo si tu veux pas avoir mal au troufion ....

Il me donna une tape sur la tête et je ressortis devant mes copains étonnés que je ramène la vaseline attendue.

Ne voulant pas attendre, les garçons décidèrent de rentrer tout de suite au camping pour me donner ma punition immédiatement après le repas. Le repas fut pour moi assez léger. Les garçons semblaient très excités.

On rentra à la tente, il y faisait chaud. Les garçons tout excités me dirent que mon moment était venu de payer (pour quoi ? ...). Ils me firent mettre nu et je dus m'allonger sur le ventre sur un matelas. Ils discutèrent sur qui devrait débuter. Ce fut Théo, le plus entreprenant qui s'y décida. Il ôta tous ses vêtements et je vis son sexe déjà bien raide. Il prit de la vaseline et la passa dans mes fesses. C'était très humiliant de recevoir ainsi la main de ce garçon au travers de mes fesses. Il se posa enfin sur moi, je sentis tout son corps moite contre le mien, c'était bizarre, personne ne s'était jamais collé nu contre moi. Sa peau était douce, ses pieds chatouillaient mes plantes, ses cuisses collaient aux miennes, son torse à mon dos. Il fit des déplacements puis je sentis son sexe raide entrer dans mes fesses chercher l'anus puis y pénétrer. Ce n'était pas douloureux comme je l'avais imaginé. Le sexe était fin, il glissait tout seul, je le sentais mais c'était tout. C'était par contre très humiliant d'autant que les autres riaient et que Loïc regardait son grand frère me sodomiser avec admiration. Je sentis un liquide chaud couler dans mes fesses. Théo se retira et en souriant demanda qui voulait être le prochain. Je fus ainsi sodomisé par Alban, mon cousin (grand victoire pour lui ! ! ! !). Puis vint Julien. Il avait un gros sexe et j'eus un peu plus mal. Cela fit rire les autres de me voir gémir un peu à chaque coup de rein. Enfin, ils obligèrent le petit Loïc à faire de même bien qu'il n'en avait pas très envie. C'était reposant mais aussi honteux de se faire ainsi prendre par un garçon plus jeune qui agitait son petit zizi raide dans mes fesses.

Ensuite, il y eut pour la première fois une attention pour moi, attention dont je me serais bien passé puisqu'ils poussèrent Loïc à me masturber. C'était là aussi assez humiliant de se retrouver allongé sur le dos, jambes écartées, pendant que le garçon me tripotait le membre avec plus ou moins d'adresse. Cela dura d'ailleurs assez longtemps mais la sensation de ces petites mains étrangères sur mon sexe, qui me donnaient du plaisir, était très étrange.

La suite des vacances fut de la même veine, comme je refusais de me masturber aux urinoirs ou d'aller aux sanitaires tout nu ou encore de me masturber à la plage devant tout le monde (ah ...les idées perverses de Théo ... ! ! !), je reçus beaucoup de punitions : sodomies, fellations, les deux en même temps parfois ... on me fit aussi me masturber pendant qu'on me chatouillai les pieds et ce, tant que je n'avais pas éjaculé ... épreuve difficile et fatigante s'il en est ... je dus lécher des pieds et même embrasser les fesses de tous les garçons ... on me donna aussi des fessées .... Ah, quand je re-pense à l'humiliation d'être nu, à quatre pattes, tandis que les garçons, un a un, me donnaient du plat de la main une grande tape sur les fesses ... je n'ai même pas pu retenir mes larmes et les suppliait d'arrêter .... Et le dernier jour, sous menace concrète de transmettre les photos, pour fêter la fin des vacances, les garçons me forcèrent à me doucher entièrement nu, durant dix minutes, à la douche de la plage, devant le regard médusé des baigneurs qui venaient prendre leur douche et des clients du bar, en face, tandis que les garçons me regardaient de loin en riant ...... ces dix minutes ont dû être les plus longues de ma vie .....

Et le pire ..... fut qu'on se donna rendez-vous pour l'été suivant ........

 

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